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Un inconnu dans un stade

En vacances je m'ennuyais, rien a faire, personne a voir. Une semaine sans sexe. J'étais une bombe à retardement.

Je n'avais même pas pensée à prendre mon jouet préféré.

Je me contentais vaguement de regarder des videos sur mon téléphone.

Ce qui rut ppour seul résultat que de me frustrer un peu plus.

Mon jouet me fait jouir certes mais il comble qu'une satisfaction immédiate, il provoque plus de problèmes qu'il n'en résouds.

Un soir où il y avait particulièrement rien à la tv, je n'en puis plus. Je bouillonnais dans mon coin.

Je m'étais fait la promesse de rester sage pendant les vacances... temps pis, je ne suis pas douée pour rester sage.

En deux minutes javais créer une fiche sur mon site de rencontre libertines préféré et je partis en chasse.

Le téléphone n'arraitait pas de bipper dans tous les sens .

J'avais mis comme envie du moment «De passage, envie de sexe ce soir».

Trés efficace...

Et puis une discussion sortit du lot, une discussion inhabituelle plus sombre, fiche sans photo.

Pas de blabla interminable ventant des performances hors nirmes peu probables,mais un discour sombre sec et rapide un peu comme quand on est attiré par le mauvais garçon de l'école, on sait qu'il ne faut pas mais quoi qu'on fasse on ne peut s'en empécher.

La discussion ne dura pas plus de vingt minutes et il me proposa de venir me demandant si il n'y avait pas un satde à proximité ou un lieu désert.

Il me demanda aussi si j'étais ouverte d'esprit et si j'étais craintive ou aventureuse.

IL ne me connaissais pas... je prie ça pour de la provocation comme un défi lancé.

Il ne faut pas me dire «même pas cap» parce que je fonce dans le tas par esprit de contradiction.

Je me retrouvais donc à 1h du matin dehors avec un temps plus que frais vétue d'un pull un peu long transformé en trunique très courte. Pas de culotte et un pull en V très très decolté qui se porte avec un tee shirt. Je n'avais que mon soutien gorge..

Je n'avais pas froid trop excitée par ma future rencontre, persuadée que je fesait une connerie monumentale mais impossible de m'en empéchée.

J'arriva au parking, une voiture y été garée.

Il m'attendait a coté de sa voiture avec un petit sac à dos.

J'étais parcourue par des spasmes dexcitation. Je voyais à peine son visage.

Je m'approcha et il me dit:

«chiche?»

A quoi je répondis:

«même pas peur» je l'ai dit il ne faut pa sme provoquer.

Il me pris par la main et m'entraina dans le stade. Il devais connaître l'endroit parce qu'il m'ammena directement derrière les cours de tennis contre le mur du fond.

Il me plaqua dos au mur et membrassa avec empressement. On sentais dans ce baiser une violence contenue.

Mon excitation monta d'un cran.

Je mis ma main sur son membre durit et le caressa à travers le pantalon. Ce que jen sentais sous ma main me prommettais des moments forts agréable.

Il avait une belle que bien grosse pas très longue mais épaisse comme je les aime.

Je commançais à deboutonner son pantalon et pris son membre durcit dans ma main. Il étais doux et chaud. Je jouait un peu avexc sa queue pendant qu'il gemissait dans ma bouche.

Il is sa main entre mes jambes. J'étais ruisselante ce qui lui provoqua un hoquet de stupeur. Il retira sa main et se lécha les doigts. J'étais en feu.

Il me glissa à l'oreille:

« j'ai envie de te glisser un objet dans ta chatte et y glisser ma queue dedans.

Mon cerveau était tétanisé par l'excitation, impossible d'aligner deux phrases cohérentes.

Je lui souffla juste:

«même pas peur»

Un sourire pervers passa sur son visage... Hummm ce sourire, ce regad, m'embrasa..

Le sdouffle court, il me retourna face conte le mur froid me pris les mains dans le dos et les attacha .

Il m'emmena sur un banc qui était à côté, magenouilla devant, m'y plaqua le visage et m'ecarta les jambes