point de vue de Clara
Clara Lewis est une jeune footballeuse de 16 ans. Aujourd’hui elle allait jouer le match de sa vie, celui qui pourrait lancer sa carrière dans le foot. Après plus d’une heure de match, l’équipe de Clara est qualifiée avec 3-2. Elles étaient parties dans les vestiaires fêter leur victoire, au bout d’un quart d’heure les trois quart des filles était partie. Il ne restait plus que Clara et Wendie sa meilleure amie et l’une des gardiennes de l’équipe. Malgré les circonstances, Wendie n'affichent pas le sourire que chacune des filles avait.
_ Wendy, pourquoi tu te réjouis pas pour notre victoire, tu aurais préféré que l'on perde? Dit-elle sur un ton humoristique. Pourtant cela ne fait même pas apparaître le moindre sourire.
_ Mais non, tu sais très bien que ça me fait plaisir que l’on est gagné, en plus c’était un moyen pour toi de monter des échelons avec ces recruteurs.
_ Oui c’était un grand jour pour moi, mais cela te pose problème, c’est peut-être le fait que je serais plus dans la même équipe que toi si il décide de me prendre?
_ Non, tu manqueras certes mais c'est une grande chance, que tu dois accepter sans hésiter si elle se présente!
_ Donc tu vas peut-être me dire pourquoi tu tires cette tête!
_ Rien d’important!
_ Menteuse, raconte, je te signale que je suis ta meilleure amie, je te connais par coeur!
_ Ne t'inquiète pas.
Elle me tourne le dos, et finit d’enfiler des vêtement propres, elle range ses affaires sans même prêter attention. Il se passe quelque chose, j’ai ma petite idée sur le pourquoi, mais je sais très bien qu’elle n'aime pas en parler. Wendie est d’origine Polonaise, elle a déménagé il y a 1 ans à 8 kilomètres de chez moi. On s'est connus à la rentrée en seconde, on était dans la même classe, pour le malheur de nos professeurs. On s'est très vite attachées l’une à l’autre et surtout vite devenues inséparables.
_ Wendie, est ce que c’est ce que je pense?
_ Nina, pourquoi on peut rien te cacher,
_ Parce qu’il y a pas plus têtu que moi.
_ pas faux, t'es au plus niveau dans ce domaine, dommage qu’il ai pas de diplôme sur la personne la plus têtu.
_ Cela serait tellement drôle, mais tu ne me feras pas oublier qu’il se passe quelque chose!
_ oui, ça recommence !
Je veux pas la couper dans sa lancée, parce que si elle se braque, je crains de ne plus pouvoir la faire parler. Alors je reste là à la regarder. Je sens qu’elle est présente physiquement mais pas mentalement, elle fixe le fond de la pièce, Carla à opté pour une jolie robe corail au dos nu. C’est une fille plutôt grande et élancée, une jolie brune au yeux vert, des yeux qu’elle tenait de son père. Il est décédé à la suite à un accident de la route, quand elle n’était encore âgée que de 5 ans. Les souvenirs qui lui restent sont flou, il ne lui reste presque plus rien, son visage s’efface au fil des années. Ses longs cheveux bruns, elle les héritent de sa mère, une belle française de trente ans. J'aperçois des bleus sur ses bras, elle ne prend pas le temps de les cacher car son excuse c’est quand ont est gardienne ont à pas le temps de tomber au sol doucement. Mais je sais trés bien qu’il ne sont pas causé par le foot, par sont beau père, un homme trés fermé sur la place de la femme, je sais qu’il n’aprécie pas que Wendie pratique le foot. Pour lui ce n’est le milieu des homme, il la rabaisse tout le temps, sa mère aveugler par l’amour qu’elle porte à cet homme, ne dit rien et encourage même Wendie à arrêter le foot.
_ Je suppose que tu as aperçu les bleus !
il c’est à nouveau pris la tête avec ma mère sur mon avenir, fin tu connais l’histoire, il a voulu prendre des mesures extreme pour me faire arreter de force, malgrés que ma mère le soutient, cela ne la pas plus d’entendre les projet qu’il avait pour me faire cesser. Le fait qu’elle sait interposer lui à déplut, une fois partie au courses, il me tombait dessus.
Je la prends dans mes bras.
_ Il est temps Wendie, que tu en parles à un adulte.
_Non cela va empirer les choses! Je vais arrêter, je crois que c' est mieux.
_ Le foot? Mais c’est ta passion , tu as toujours fait du foot depuis très jeune.
_ Oui mais il est temps de réaliser que je vais faire du mal à ma mère si je continue de tenir tête à mon beau-père. Aller bisous je te laisse, je dois être bientôt rencontrer. Je croise les doigts pour toi.
Je lui dépose un baiser sur la joue, et la laisse partir. Je finis de ranger mes affaires, mais mon esprit divague. La journée est décidément très dure aujourd’hui j'aurais mieux fait de rester couché. Tôt ce matin on m'annonce le décès de mon grand-père, il était atteint d’une maladie, dont je ne serais incable de vous donner le nom. Dans la journée je me suis rendu au travail, à la boulangerie de Rita, malheureusement à la fin de mon service, elle m'a annoncé la fin de mon contrat, qu’elle n’avait plus les moyens d’avoir des jeunes à former. C’était démoralisant que je me suis rendue à mon match, j’ai fait de mon mieux, je mettais la reprise mais le moral venait de reprendre un coup avec la nouvelle de Wendie. Je sors des vestiaires en larmes, je craque sous l’effet de toutes ces nouvelles, je ferme les portes du bâtiment à clé. Je tentais d'allumer la lampe de mon portable mais la pluie le faisait déconner. Quand tout à coup, j'entends des bruits de pas qui s'approchaient, quand j'ai voulu me mettre à courir c’était déjà trop tard. L’individu lui avait plaqué un chiffon avec un produit sur la bouche et le nez, qui m’endors.
Quand je me réveille, je me trouve sur un matelas avec des draps gris souris. J’essaye de me lever , mais peine perdue je me rends compte que mes mains sont attachées au-dessus de ma tête. Je me débat malgré le fait que je sois attaché, qui sait les chaînes vont peut-être céder, soudain un homme débarque dans la pièce un plateau en main. Je ne l'ai pas vu rentrer, concentré sur mes chaînes, sa voix m'a fait sursauter.
Je le dévisage, il a je dirais la vingtaine, blond aux yeux bleu azur, de magnifique trait, musclé à première vue, beau me: A cette pensée je me reprit, je n’allait pas tomber sous le charme de mon kidnappeur!
_ Qui êtes-vous?
Il s’approche de moi, mais je m’agite pour le repousser tout en criant.
_ Tu vas la fermer oui, arrête de bouger ou je te laisse attaché!
Je me calme le temps qu’il me détache, quand ce fut fait je pars me réfugier dans un coin de la pièce tout en me recroquevillant. Ce qui lui fit pousser un soupir.
_ Je suis Lucas Stuart et toi tu es?
_ T’enlève des filles sans même te préoccuper de qui elles sont imagine j’aurais fait du karaté.
_ C’est pas moi qui t'a enlever!
_ Qu’est ce que je fou ici, avec toi si c’est pas toi qui m'a enlever, hein dit-moi.
_ C’est mon père qui t'a enlevé.
_ Ca n’a pas l’air de te déranger, tu es peut-être aussi taré que lui!
_ Déjà tu vas arrêter de crier si tu tiens un minimum à ta vie! Ensuite moi je tiens à la mienne, je ne peux te sortir de la sens que c’est ma famille qui en paye les pots cassés, cela fait des années que cela se déroule, mais je les découvert il y a qu’un ans, mais pour lui c’est une fierté, quand il ma tout expliquer j'avais l’impression qu’il venait de remporter un trophé. Sauf que cette année il veut que ça soit moi qui fait ce qu’il fait d’habitude, même si je veux pas j’ai pas le choix ou toute ma famille va se faire tuée.
Il s’assied à côté de moi, l'air désemparé et complètement traumatisé par ce qui vient de se dire, comme si le fait de le dire à voix haute venait de le faire réaliser.
_ Comment à t-il pu en arriver là, c’est vrai on formait une si belle famille, il était très amoureux de ma mère, il nous aimait tellement, puis il a perdu son travaille, est tombé dans une dépression et dans l’alcool, cela à mit tellement de distance entre chacun d’entre nous. Sa à bouleverser toute notre famille, mais il a fini par trouver un petit boulot ça ne valait peut-être pas celui qu’il avait perdu mais c’était déjà un bon début. Je pensais que la pente il là remontait pas qui la descendait encore, j’aurais jamais pu croire mon père aussi cincler, c’est vrai il a toujours respecter la loi, alors imaginer qu’il était la cause de toute ces dissparition, de tous ces viol, et peut-etre de tous ces meurtre!
_ De ces meurtre?
_ Oui, mais je te promets de trouver une solution pour que tu t’en sorte, il est hors de question que je laisse quelqu’un mourir pour en protéger d'autres.
_ Comment tu l'as découvert ?
_ Je suis descendu dans la pièce d'à côté, j’ai entendu des pleurs, mon père est sorti de la pièce, j’ai eu le temps d'apercevoir le corps d’une jeune fille.
_ Il faut toujours que tu mets ton nez ou il faut pas, résultat tu vas en payer le prix. Dit une voix du fond de la pièce, que je suppose être celle du père de Lucas.
_ Rattache-là, hurle t-il
Il va se placer face à son père, et refuse d'obéir, soudain les mouvements du père laisse apparaître une arme sous son pull, je me lève et m’interpose entre eux, Lucas ne comprend pas ma réaction, mais je lui fait comprendre du regard qu’il devrait faire ce qu'il demande.
_ Même elle sait se montrer raisonnable tu vois!
_ S’il te plaît, épargne là!
_ Pourquoi elle, plus qu’une autre! Fais pas ta mauviette, attache là et ferme là un peu. Tu sais ce qu’il se passera si tu ne fais pas ce que je te demande.
Il sort son arme, et la place sur ma tempe.
_ Elle meurt après tous tes proches.
_ Fait ce que tu as à faire!
_ Mais ta oublier cette année c’est toi qui va le faire. Bouge toi.
Il me regarde, les yeux remplis de larmes, j’ai compris ce qu’il allait ce passer, Lucas reste réticens, il ce sens incapable de faire sa, l’arme vient soudain ce plaqué sur ma tempe. Il agit sous la pression de voir son père appuyer sur la gâchette. Les larmes se mettent à couler sur nos visages quand je sens ses mains se déposer sur le bas de mon ventre. Malgré les circonstances il me demande au regard mon approbation, comme si on avait le choix.
Cela fait déjà deux jours que je suis enfermé dans cette cave, je ne sais pas quelles sont les intentions de Connor, je ne sais pas si je vais sortir de cette pièce morte ou en vie. Lucas descend seulement quand son père lui demande, mais au peu que je le vois, le changement est flagrant, il se creuse, il va vraiment pas bien, mais je peux rien faire pour lui.
Connor débarque dans la pièce et je sens aujourd'hui qu'il est d’humeur à m’en coller une, c’est ce qu’il fait, il me frappe jusqu'au sang, jusqu'à m'en croire morte. Il repart aussi vite qu’il est arrivé en me laissant inconsciente sur mon matelas taché de sang.
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