On peut patienter dans un couloir, dans une salle ou à l'extérieur. Le couloir peut être vide, des chaises peuvent être installé mais elles prennent de la place. Pour les étudiants, elle peut être longue avec différents domaines, différentes matières et avec des exameninateurs différents. La peur, l'angoisse, la nervosité et l'anxiété se ressent dans l'atmosphère. La joie, le soulagement apparaît souvent à la sortie et ils sont comblés de rentrer. Le plus important est de garder son calme.

Cette fontaine porte malheur. À toutes les heures. La pièce plonge dans l'eau. Préparez le tombeau. La machine est lancée. Le mal va vous hanter. Le succès va s'enfuir. Vous ne pourrez fuir. La nuit ramène le danger. Le tueur est un étranger. Personne ne le voit. Vous entendez la mauvaise voix. Le fantôme va vous emporter. Votre vie va être jeter. Votre ne sera jamais retrouver. Malgré la volonté de le trouver. Une personne a disparue. Personne ne l'a vue ? Elle est en lambeaux.

Il fait ses rondes dans le ciel en guettant, en chassant et en verouilant sa proie si délicieuse. Ce rapace est visible dans la forêt, le désert et rarement dans les milieux urbains. Ces ailes sont majestueuses, son apparence est effrayante, son cri glace le sang mais il est surtout discret. Une souris sort de sa cachette, sa vue n'est pas mauvaise et la voilà qui retourne chez-elle. Sa seule faiblesse est son ombre qui endosse le rôle du traître lors de la chute libre. L'aigle patiente.

On la parcourt tous les jours, on ne sait pas toujours où est-ce que l'on se rend mais c'est l'aventure ou l'inconnu qui nous appelle. Une autoroute, une voie rapide ou une route fait partie du quotidien, à notre plus grand malheur. Les chemins, les sentiers nous mènent vers un endroit mais nous sommes toujours surpris d'en apprendre l'existence Les voitures, les camions, les bus l'utilisent et croisent même parfois un train, à travers une forêt. C'est long mais elles relient le monde.

Il nous montre souvent ce que l'on ne veut pas voir.  On le regarde par vanité, par cupidité ou par coquetterie. Parfois, ce n'est rien de tout cela.  Le miroir nous aide au quotidien, il est partout. Le verre des portes, les vitrines de magasin ou les écrans peuvent le remplacer. De nombreuses légendes entoure ce mystérieux objet, il est pourtant banal. Dans un roman, il reflète notre désir le plus profond mais au final on se regarde soi-même et rarement l'environnement nous entourant.

Une créature mythique est cet oiseau. Son chant est une douce mélodie. Ces larmes ont un don de guérison. C'est une légende urbaine que nul n'a jamais vue, aperçue ou connue. On l'aperçoit dans les films, les séries mais notre imagination le voit ainsi. Son élément est le feu. Nul ne peut l'approcher sans se brûler un ou plusieurs doigts. Les ailes sont magnifiques. Son plumage est un mélange de rouge et de orange. Ils veulent le tuer mais on oublie souvent qu'il renaît de ses cendres.

Cet homme était âgé, il avait une valise imposante à ses côtés. Son regard semblait être fatigué, l'aura qu'il dégageait était froide mais son apparence troublait les autres passagers du train. Personne n'osait le regarder dans les yeux. Le trajet était long. Les passagers bougeaient mais cet homme au chapeau marron est resté immobile. Il est sorti au dernier arrêt, cet homme était le premier à respirer l'air du soir. Son chapeau marron était en cuir mais sa posture est restée en mémoire.

Les enfants s'amusent, ils circulent d'une attraction à une autre et les odeurs ouvrent l'appétit. La grande roue tourne pour nous rapprocher du ciel, les attrapes-peluches ne sont qu'une question de chance et les manèges procurent une adrénaline exquise. Certaines attractions sont plus dangereuses que d'autres, les frissons ne sont jamais bien loin et les cris sont couverts par la musique. - Je veux faire un dernier tour à la fête foraine ! Elle déménage demain déjà !

Assise près de la fenêtre, j'observe la pluie Le jour a laissé place à la nuit Le calme s'installe dans la ville Le sommeil est vil Seule les gouttes brise le silence En imposant leur présence Le bruit est infernal Et les rêves deviennent banal Elles jouent souvent avec notre humeur En devenant un blâmeur Les mauvais rêves ne sont pas loin Et notre cerveau n'en fait pas un foin Le sommeil fini par nous assommer Alors que l'église se mit à sonner Jusqu'à atteindre 12 coups assurés

Je sens un regard méprisant quand je suis dans le champ de vision et tu crois toujours que je ne le sais pas. Mais je dois te dire quelque chose, je sais ce qu'il se passe dans mon dos. Les souvenirs ont fini par disparaître, le passé a fini aux oubliettes et tant mieux. Je peux avancer maintenant, je suis libre de me dire que rien de tout ça n'a eu lieu. Il ne me reste plus que de la haine et du dégoût désormais mais c'est ce qui fait ma force. Je ne serais pas arrivée aussi loin sans.

J'avance et je te vois Je recule et je te crois Nos vies ont changés Les habitudes se sont rangées La nostalgie nous envahis Quand on est trahis Mais ce n'est pas la réalité Et c'est devenu une fatalité Le temps nous as éloigné Après avoir réclamé Le lien s'est rompu Il était involontairement voulu Tu vis ta vie et je mène la mienne Je vis ma vie et tu mènes la tienne Qui sait ce que la vie réserve ? Si une surprise émerge Je te vois au loin Mais toutes les bonnes choses ont une fin

Il réfléchit trop souvent. Et parle trop rapidement. Notre corps en est indépendant. Et nos gestes sont perdants. Nos neurones ne fonctionnent pas sans. En guidant notre sang. C'est le moteur humain. De notre tête aux mains. Sa capacité est énorme. Mais pas souvent aux normes. Les mises à jours sont nombreuses. Et elles nous rendent quelquefois nerveuse. Souvent mal-aimé et sous-estimé. Parfois maltraité et malmené. Il n'est jamais en pause. Même lors de l'explication d'une prose.

On le tourne dans tous les sens. La voix ne vit pas sans. Personne ne peut les enfermer dans la malle. Et ils rebondissent comme la balle. Ils blessent plus que les maux. Aussi léger qu'un plumeau. Et souvent, on en dit trop. Comme le fait un escroc. On peut mal les comprendre. Et personne ne veut les entendre. On les tourne très souvent. Et nous ramène vers le vent. Très souvent incompris. L'envie est d'en payer le prix. Mais c'est inadmissible. D'être autant disponible. Me voilà ! Le mot.

On l'utilise en temps de guerre ou pour faire une mauvaise farce. Artisanale ou industrielle. Elle produits des dégâts matériels, physiques et les pires blessures sont celles qui sont psychologiques. Les morts sont parfois nombreuses, les blessés sont moins fréquents. Mais qui n'a jamais rêvé d'en avoir une dans les mains ? C'est un objet destructeur. Il détruit la vie de plus d'une personne, plusieurs sont touchées en même temps. Une fois la détente enclenchée, personne ne peut l'arrêter.

Il est parfois en retard et rarement à l'heure. Les trains sont bondés et vide. La place est une denrée rare. Les quais sont fades. Les usagers ne sont pas contents. Ils doivent souvent attendre. C'est la faute au temps. Attendre et puis comprendre. Ils jouent souvent avec nous. Nous courons dans tous les sens. Sans le moindre sous. Sans aucun sens. Les employés subissent le sort. Les nouvelles sont imprévus. Les usagers ont souvent tort. Jamais on a vu. C'est un chaos pur.

La brume le couvre ce matin. On pourrait le voir de loin. Sa couleur brille au soleil. En étant loin du sommeil. Il noircit à quelques endroits. La pollution reprend ses droits Le clocher est grand dans sa splendeur. Par sa taille, il fait peur. L'admiration est pour les touristes. Pour les pauvres et les riches. L'habitant ne le regarde pas. Et c'est dommage dans ce cas. C'est pourtant beau et fort. De ne jamais avoir tort. Il se tient dans sa droiture. Avec sa solitude.

Elle apparaît quand il fait froid. Elle prend possession de ce qu'elle voit. Les champs sont glacés par son souffle. Les mains sont dans les moufles. Il suffit d'expirer pour voir une buée. Après avoir éternuer ou avoir tousser. Couvrant les voitures et les toits. Ne respectant aucune loi. La météo nous l'apporte en hiver. La chaleur fait partie de hier. Certaines personnes la pensent inutile. Et qu'elle est futile. Elle annonce la saison froide. Voilà que démarre sa croisade.

Elle est si calme et si douce. Les étoiles prennent leur place dans le ciel. Mais soudain ressort son côté louche. Et déploie ces ailes Un hurlement se fit entendre. Le grand-duc n'est pas à vendre. Il râle dans la nuit. Face aux bruits. Des pas ont troublé son sommeil. L'alerte est lancée. Le vent ramène l'odeur de vermeil. Et la nature reste sacrée. Elle effraie beaucoup de personnes. D'autres l'observe depuis la fenêtre. La lune qui rayonne. Impossible de la soumettre.

Elle marche seule, dehors sous la pluie, sous la neige ou sous la chaleur. Personne ne se tient à ses côtés, elle salue parfois des proches, des connaissances et rarement des amis. Elle marche dans la ville, les lumières la guident dans la foule. Tout le monde la regarde, une capuche sur sa tête, son sac sur son dos et marchant d'une démarche assurée. Parfois, elle sourit en admirant les illuminations de Noël et se retrouve soulagé de pouvoir rentrer. Elle n'est pas folle mais solitaire.

Sa mélodie nous emporte. Son jeu de doigt est parfait. Ses partitions en jette. Rien n'est surfait. Il impressionne avec son talent. Sans se laisser déconcentrer. Son cerveau n'est pas lent. Le voilà déconcerté. Face à son professeur, il se vante. Le métronome augmente la cadence. Un esprit ancien le hante. Il montre son impatience. Une personne le surveille dans l'ombre. Son ange gardien se dévoile. Et soudain sort de la pénombre. Comme une onde boréale. Un beau jour, il a disparu...

J'attends le signe qui va me libérer. On m'a dit que le positif appelle le positif. Mais je fais comment si je n'arrive pas à le voir ? Si j'ai de la chance, je n'arrive pas à le voir mais pour le réaliser j'ai besoin que d'autres personnes me le disent. Voilà où j'en suis. Mon humeur va être vient sans arrêt, le moral est l'équivalent de montagne russe. Personne n'est à blâmer et n'est blâmable. Mais je suis mon propre allié et ennemi. Qui suis-je en réalité ? Qui suis-je au fond ?

Il défend les siens avec acharnement et sans la moindre peur en lui. C'est un animal fort, courageux et on le voit que très rarement Un ours ne dort jamais très profondément, il guette le moindre danger pour mettre sa famille en sécurité. Le pelage est brun, noir et blanc dans les pays froids. Ils sont utilisés comme de marionnette dans les cirques alors que les zoos cherchent à les préserver de la nature humaine. -- Les humains se protègent de l'ours mais il se protège contre qui ?

Parfois, elle est pleine, en croissant ou elle se refait une beauté en disparaissant dans les ténèbres. Ses rayons sont lumineux, les animaux l'idolâtre alors que l'homme la regarde et pense être proie à un mauvais rêve. Nous pouvons la voir quand le ciel est dégagé, les étoiles sont visibles et si la chance vous accompagne les étoiles filantes ne seront pas loin. Je ne vais pas dormir, le ciel n'est pas couvert et la lune est pleine. Mon regard se perd dans cet aspect et bonne nuit...

C'est un animal courageux et sauvage. Il protège les siens et n'hésite pas à montrer les crocs. Sa progéniture est à l'abri, les petits jouent à l'ombre sous le regard attentifs de leur mère qui baille aux corneilles. Qui voudrait prendre soin de 6 lionceaux ? Personne mais elle le fait. Le Roi prend soin de ses enfants, la Reine les surveilles et soudain une proie sort de nul part .Le troupeau de gazelles venait d'échapper, le repas ne sera pas tout de suite mais il viendra. Le rôle du lion.

Elle est toujours là quand les voitures sont mal garées, sont en pannes ou qu'elles dérangent tout simplement. Ce long véhicule peut frapper à n'importe quel moment, il peut parfois emmener plus d'un véhicule et partir très loin. La voilà qui apparaît au coin de la rue, elle s'arrête et s'apprête à prendre un autre véhicule avec elle, un autre délit à été commis. Le propriétaire ne s'y attendait pas. -- Fais chier. Ma voiture est sûrement à la fourrière marmonna cet homme en fixant le parking

Elles éclairent notre chemin en étant naturelles ou artificielles. Les lampes sont autour de nous, le soleil nous guide le jour et la nuit c'est la lune qui prend le relais. Notre chemin est parfois dans l'obscurité, la lumière nous l'éclaire et tout devient clair. Un bain de soleil permet de bronzer, le bain de lune permet d'afficher un sourire avant de fermer les yeux. La lumière est tout autour de nous, nos yeux doivent simplement la capturer et tout s'éclaire sans le savoir vraiment.

Ils peuvent être bons ou mauvais. Parfois, nous devons mieux les observer et être plus attentifs. Ces mirages de notre esprit, de nos pensées essaient de nous dire quelque chose ou de nous indiquer le chemin. On se réveille parfois en sursaut, le sommeil s'est envolé et l'envie de dormir s'est évaporée sans que l'on puisse comprendre la raison. Certaines personnes rêvent très peu, d'autres plus que la moyenne. Mais comment se rendre compte que la fin de ce rêve est proche ? - Réveille-toi

Il nous hante très souvent, on peut le confondre avec le gouffre que l'on peut voir dans nos pires cauchemars. La galaxie est également un synonyme, personne ne peut y survivre mais nos astronautes l'apprécient tant pour les paysages, les découvertes uniques que l'on peut y découvrir. Le néant est quelque chose que l'on ne peut pas facilement expliquer. C'est souvent une absence d'existence, aucune valeur ne peut l'effacer. Les yeux sont fermés, le néant va vous hanter avec la noirceur.

L'horloge nous indique l'heure. Qu'il fasse nuit ou jour. Bien le bonjour. Il ne s'agit que d'un leurre. Le temps nous tient compagnie la nuit. En cas de profondes insomnies. Et faire face à l'ennui. Tout au fond de son nid. Le temps peut durer longtemps. Il est invisible pour nous. Il est là tout simplement. Soudain tout devient flou. Le passé, le présent et le futur. Voilà où se trouve le règne. Comme une sorte de mesure. Et l'eau qui se baigne. Quand le soir arrive, il tourne au ralenti.

Elle pousse comme bon lui semble. On la voit dans nos jardins, dans les forêts et dans les paysage. On peut parfois passer à travers, en dessous, en dessus ou encore passer à coté. Les pieds passent à travers, la terre est en dessous, les airs sont les rois et la végétation est visible tout autour de nous. Les arbres prennent racines sous la terre, sur les maisons et sur les rochers. Comment stopper la nature si nous ne pouvons pas la stopper ? Alors qu'elle le fait aisément avec nous.

L'orage prend place. Le regard se promène à la fenêtre. Et occupe chaque centimètre. Le bruit brise la glace. Il emmène la grêle et le vent. Sans pour autant se montrer bruyant. Les éclairs se montrent fainéants. Les nuages deviennent les surveillants. Certains en ont peur. D'autres les admirent, les chassent Et ils les pourchassent. En laissant place à la stupeur. Chacun à son avis et son opinion. La nature prend ses droits. Et ce à plusieurs endroits. Le soleil fera son apparition.

Les vagues frappent le ponton, elles se ruent sur les pieds des falaises et elles se jettent sur le sable en englobant les pierres. On peut les entendre, les yeux peuvent tranquillement se clore et laisser le champ libre à l'ouïe. C'est tellement apaisant d'entendre ce son, il est relaxant et pourtant peu s'en contente de l'entendre et préfère le voir avec les yeux. Certaines choses n'ont pas besoin d'être vu. Il suffit de bien tendre l'oreille et de vous laisser bercer par ce son agréable.

Elle me paralyse, me terrifie et m'empêche de dormir la nuit. Parfois, il faut se rappeler certaines choses pour pouvoir avancer. Lâcher prise est parfois la meilleure solution. Mais comment faire si le cauchemar se voit dans la réalité ? On nage en plein délire et on se sent pris au piège. Nous mettre dos à un mur n'est pas la meilleure des solutions. Le cauchemar. Il est là et sous mes yeux en plus. Il prend forme à chaque jour qui passe. Pitié. Laisse-moi dormir chuchota cette voix

C'est un homme avec un regard froid, des yeux d'un noir profond et son air mystérieux. Il circule dans la bibliothèque, ses mains se promènent d'un livre à un autre sans jamais en garder un seul. Il sait que je l'observe mais je n'ai pas l'air de le déranger. Ses yeux parcourent les pages et l'air devient subitement froide comme le serait le plus froid des hiver. Ses yeux se promènent autour de lui et nos regards se croisent enfin. Sans dire un seul mot, j'ai réussi à le comprendre.

Le brouillard est épais ce matin. Je ne vois pas plus loin que le bout de mon nez. Il recouvre les champs, les paysages et nous empêche de voir ce qu'il se passe dehors. Parfois il est fin ou plus épais selon l'altitude, le temps et la température joue aussi un rôle dans son apparition. On dit qu'on ne le voit uniquement dans les montagnes, dans les plaines mais c'est faux. Vous savez le nombre de fois ou je me suis réveillée le matin en le voyant dans une zone rurale ? Non et moi non plus.

On ne peut pas en avoir assez. Il faut apprendre à le gérer. Il faut en prendre soin, ne pas le gaspiller car on n'en a pas assez pour combler une vie entière. C'est une denrée rare que peu de personnes prennent en compte. Et pourquoi ? C'est quelque chose qui est sous estimé. Les vieux dictons nous le prouvent. Les ignorants l'ignorent encore. -- J'aimerais contrôler le temps et pouvoir le stopper quand je veux mais... -- Ce ne serait plus drôle alors -- Ah. Parce que ça l'était un jour ?

Il est froid et parfois même chaud. Il ramène la pluie parfois même le soleil. Il est fort et parfois faible aussi. Le vent peut parfois faire claquer les portes, les volets, les fenêtres et nous fait don de ses amis les courants d'airs. La neige est suivie de la pluie, de grêlons même quelques fois. L'orage, les éclairs et le tonnerre sont issus de ce dernier et rien ne va pour les Hommes. Qu'en est-il de la nature ? Des animaux ? L'opinion est partagée. Le vent nous guide et nous arrête.

Il vient, il part. Il revient et il repart Le vent nous le ramène. Peu importe la vie que l'on mène. Il nous hante et nous enchante. Il nous jette et nous rend visite. La pluie vient nous dire bonjour. Que l'on soit dans un bon ou mauvais jour. La neige vient des nuages. L'éclair ramène l'orage. Le matin, il fait froid. Et il sème l'effroi. Le chaud le chasse parfois. Sans se préoccuper des droits. Le chaos se prépare. L'armure est au départ. Le train est sur le quai. C'est ce que je sais.

C'est un oiseau qui n'est pas comme les autres. Il parle, chante, imite certains bruits et enregistre tout dans son cerveau, sa mémoire. Le capitaine sur le bateau l'aime bien. Parfois, l'oiseau aime bien répéter les ordres et s'amuse à faire rire le chef de bord. Tout le monde pense qu'il est dénudé d'intelligence, qu'il se contente de tout répéter sans même prendre un instant pour réfléchir. - Il faut nettoyer le quai ! C'est sale ! C'est très sale ! - Je crois que nous avons les ordres !

Pourquoi le ciel est-il orange ? Pourquoi cette couleur se reflète partout ? Le sable du Sahara est venu nous rendre une petite visite, il s'accroche partout. Sur les rampes, sur les bancs, sur les poubelles, sur les voitures et dérange tout le monde. À la fin de la journée, j'ai pu croiser cet agent immobilier qui avait un seau d'eau dans ses mains pour nettoyer sa voiture. Pourquoi ne pas attendre que la pluie s'en charge à sa place ? Il est frustré, énervé de faire face à la nature.

Quand on entends ces quelques mots, nous pensons tout de suite à un capitaine aigri, fort en expérience mais aussi en âge et un véritable sage caché. Pourtant, ce n'est pas souvent le cas. Aujourd'hui, les temps modernes avancent à une vitesse fulgurante. Les jambes de bois se font de plus en plus rares, les prothèses sont de plus en plus disponibles en plastique et parfois en verre. Quand vous verrez ce genre de personne, il ne faut jamais oublier que c'est sans doute un pirate moderne.

Un oeil de verre permet de voir les choses invisibles aux yeux des autres. Pour la plupart, ce sont des exclus et pour d'autres ce sont des exceptions. Ce qui est invisible pour nous, ne l'est pas forcément pour les autres. Parfois, un danger nous guette sans qu'on ne le remarque avec cette ombre noire, ce nuage sombre qui nous poursuit. Il faut écouter cette voix. Aussi bizarre qu'elle puisse être, elle peut nous sauver comme pourrait le faire un oeil de verre qui voit les ténèbres arriver.

Il y a cette fille. Avec son gilet d'un vert fluo que je croise de temps à autre. Parfois, elle est accompagnée d'une amie alors que l'autre fois elle est installée dans la noirceur, à l'écart de la lumière et de toute présence. Elle veut s'isoler des autres, la solitude est un bon point sans pour autant en abuser. Tout comme moi, on se ressemble quelque peu. Il est facile de la reconnaître, son gilet avec cette couleur ne la quitte jamais et se trouve éclairé le matin grâce à la lumière.