Il y avait énormément de monde, de sort que je ne savais où donner de la tête
- mais tu ne m'avais pas dit qu'il y aurais autant de monde m' écriait je
- même moi je ne savais pas. s'écria à son tour mon amie en tentant de parler au dessus du bruit
cette soirée était beaucoup plus impressionnante que je ne le pensais
- je vais essayer de trouver les toilette et je reviens si je ne suis pas là dans 20 min sache que la foule ma emporté .
- essayez de revenir toi et tes 1m 60
- 1m60 de pur bonheurs dit je en ricanant avant de me lancer dans cette foule.
Sur ces dernières paroles, je quitte la pièce et arrive dans le grand hall de cet endroit. C'était vraiment magnifique, qui ne rêverait pas de se marier ici. Je ne suis pas sûr, mais je pense même que j'y ai vu quelques célébrités.
Mes cheveux, lissés pour l'occasion, ne cessaient de retomber sur mes yeux, ce qui ne m'aidait pas dans mon périple. J'avais l'impression que cette fête tentait de me rappeler le désordre, et l'ennuie de ce à quoi se résumait ma vie.
Oui, malgré l'endroit où je me trouvais, mon pessimisme habituel refessais surface.
Je suis au mariage d'une de mes meilleures amies. Mey c'est une jeune Japonaise de 25 ans qui a réussi ce que j'appelle l'arbre de la perfection, c'est-à-dire qu'elle a un métier, un fiancé, maintenant son Mari et une maison.
Je ne suis pas jalouse, mais réaliste, c'est ce qu'est pour moi une existence réussite, enfin d'après ce que mes parents m'ont inculqués. Quant à moi, j'étais plus ou moins la version ratée de cette perfection. On pouvait lire sur mon front, chômeuse de 23 ans qui vient de perdre son travaille et son copain. Pour positiver, il me reste mon appartement avec mon super voisin agaçant. Non ! je n'ai pas pour habitude de me plaindre.
Aller Nia aujourd'hui est un grand jour alors reste calme et profite. C'est ma devise de tous les jours.
Je monte donc ces grands escaliers à la recherche des toilettes, je ne savais pas que mon cardio était aussi bas, je dois réellement me remettre au sport. Sur cette dernière pensée, j'arrive à l'étage non sans mal, je l'avoue. Il y a un nombre incalculable de portes, ma vessie ne supportera pas l'attente.
Déterminée comme jamais, je m'aventure dans ce long couloir ouvrant chaque porte que je croise.
Je venais d'ouvrir la 15e au moins, sans toujours avoir trouvé. Ma patience à des limites. Avec une touche de désespoir, j'ouvrais donc la 16e porte quand je vis d'un œil une silhouette dans le noir, assez effrayant de cet appartement. Je ne pouvais voir grand-chose dans cette obscurité, mais la lumière de la lune émanant de la fenêtre géante qui doit être en réalité une baie vitrée, je suppose, me permettait de distinguer son corps. C'est avec surprise que je remarque qu'il n'a qu'une simple couverture en guise de vêtement.
Son torse est nu et je peux donc assez facilement voir qu'il allait à la salle, les abdos bien dessinés ne peuvent me tromper.
- Referme la porte m'ordonna soudainement la voix
Surprise, je voulais donc tenter de m'excuser et m'éclipser.
Avec un bégaiement sans pareille je marmonne une phrase inaudible
- euh, excusez-moi, je ne voulais pas, enfaite, si, mais non, je cherche …
Sans me laisser le temps de plus m'embrouiller dans mes propos, je reçus un nouvel ordre de cette voix rauque, mais presque pleine de douceur.
- J'ai dit, éteins ! dépêche-toi et viens. Reprend-il
Il avait complètement fait abstraction de ce que je disais, alors la probabilité que je sois à la recherche de toilette et que je me retrouve dans les apparemment d'un inconnu qui me prend pour ça connaissance est de 1 % et pourtant me voila bien embêtée. Je n'allais bien sûr pas rentrer ! pour qui il se prenait au juste.
Sans faire attention je me suis perdu dans mes pensées. Après 5 seconde qui parure 10 min de réflexion, je relevais la tête et vis son gabarit assez imposant posée devant moi entre l'encolure de la porte. Sans réfléchir, je fis un pas en arrière, prêt à prendre la fuite quand une main forte s'agrippa à la mienne et en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouf, j'étais à l'intérieur, seule et presque pompette avec lui.
Il posa sa main sur mes lèvres et me plaqua contre le mur ! je ne sais pas si c'est l"alcool ou non mais je me trouvais presque envoûtée par son parfum un mélange d'épices doux ainsi que de bois d'ocre. Je délirais cet homme était beaucoup trop près .
- Pourquoi as-tu mis autant de temps, je commençais à m'ennuyer. Me souffla-t-il dans le creux de l'oreille
Les poils de mon dos se hérissèrent sous ma robe, à chaque souffle de respirations sur ma nuque, je n'avais pas froid pourtant. Alors était-ce lui qui me procurait ce sentiment ?
- Laissez-moi partir il y a une erreur je pense. Tentait je de dire avec le plus d'assurance possible.
- Erreurs ? pas à moi tu devais etre le dessert de cette fête c'est toi qui me la dis.
Apres quelque secondes de recherche à l'aveugle de son doigt qui était posée sur me joues j'attrapait son poignet que j'éloignait rapidement de ma face, avant de le repousser.
Mais j'oubliais qu'il était torse nue et mes mains restèrent collée contre ma volonté à ses deux pectoraux.
Avec une intonation de sarcasme et d'amusement, il répondit à mon acte par les mots.
- Tu as avalé un clown ou quoi ? tu agis beaucoup plus bizarrement que tout à l'heure, mais j'accepte coquine. Par où veux-tu commencer
Son dernier mot me fit reprendre conscience d'où j'étais et de ce qui se passait, comme si une guêpe venait de me piquer et avait réveillé mes sens
Je m'écriai presque
- Je ne suis personne que tu puisses connaître, je me suis juste perdue, je cherche les toilettes.
- Il y en a une juste derrière toi, soupira-t-il. Je pouvais lire l'impatience dans sa voix.
Je sentis ensuite ses deux larges mains prendre mes épaules et les utiliser afin de faire pivoter mon corps et de me pousser légèrement vers une autre porte. Après être sortie d'ici, je me jure de ne plus ouvrir une porte inconnue.
D'accord dans la situation où j'étais je lui lançai un merci creux avant de rentrer dans ces toilettes tant convoité, ma vessie m'envoyait beaucoup de signal de fin de stockage.
10 min plus tard après avoir fini de m'assouvir et d'avoir pris 8 minute pour préparer mon monologue, je sors enfin des toilettes.
Prit de panique à cause du noir, oui, j'avais oublié, je m'avançai en tâtant les murs et les objets que je pouvais sentir
- j'aimerais qu'on allume d'abord la lumière, ce serait plus confortable pour discuter de tout cela
Aucune réponse ne me parvient et est-il partit
- excusez-moi, il y a quelqu'un ? le jeune homme qui sent le bois d'argent ou êtes-vous dit-je presque désespère
- Approche, je suis sur le canapé, suit la Lumière de la lune
Mais je vais pleurer là, je veux juste aller manger le gâteau, félicité ma pote, et retourner dormir chez moi.
J'ai donc décidé de directement tâter le mur et ressortir par où j'étais rentré, mais, quand j'ai enfin réussi à toucher un truc qui ressemblait à une poignée, c'était bloqué.
- C'est ça que tu cherches ? Tu m'a dit aimer jouer vient alors chercher la clé. C'est dans ces moments-là que je me dis que toutes les situations improbables n'arrive qu'à moi!
JE Veux SORTIR !!!
Je me dirige tout de même vers le bruit de clé et finit par trébucher sur quelque chose avant de tomber sûr …
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