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Il parti sans un regard en arrière... Jules 18ans jeune adulte en galère dans sa vie aussi bien amoureuse qu'étudiante. Sa colocataire froide et distante va t'elle réussir à le faire sortir du mutisme dans lequel il est rentré lors de sa première nuit de folie... N'oubliez pas de commenter ça m'aide vraiment !!! >< 🙏


Erótico Impróprio para crianças menores de 13 anos.

#tranchedevie #questionnement #lgbt #humour #jeuneadulte #sex #famille #erotique
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Insomnie

Cette nuit-là, je l'ai perdue à tout jamais. Ma virginité m'avait été prise sans que je ne puisse refuser.


Ce matin, lendemain de soirée, je me réveille près d'un corps musclé et bronzé, sculpté parfaitement. J'observe ses abdos, je les admire pendant cinq bonnes minutes avant de me rendre compte que j'étais clairement observé, prit en flagrant délit, je rougissais de honte.

- Alors ils te plaisent ?

Il me lève le montons et me regarde. Je ne peux que retenir ma respiration devant pareil Apollon. Ses yeux vert émeraude me scrutaient en détail.

- Tu es magnifique.

Je voulais répondre, mais il colla ses délicieuses lèvres aux miennes. Je ne l'empêchais pas. Ses lèvres pulpeuses et douces épousaient parfaitement la rondeur de ma bouche.

Cette nuit-là, c'était comme ça qu'on avait, de fil en aiguille pris la direction de quelque chose de plus distrayant.

Sans me rendre compte, je me rapprochai de son corps.Je me collais à lui.Je sentais mon pénis grossir dans mon boxer.
Il dut le sentir aussi, car il arrêta de m'embrasser et fourra la tête sous le drap.Sa voix, étouffée par le tissu, était narquoise.
-Voudrais-tu que je te soulage ?
Sans me laisser le temps de répondre, il enleva le seul vêtement qui me restait et, de ses mains commença à me caresser doucement.
Ma respiration se fit saccadée.
Il frottait le bout sensible de mon phallus, je n'en pouvais plus et sans m'en rendre compte, je laissai échapper un gémissement de bonheur.Il accentua sa pression puis sans me prévenir commença a utiliser les autres membres de son corps.
-Alors tu aimes ?
Jerépondaispar un profond orgasme.
-Lucas...Lucasstoop

-Tu n'aimes plus ?

-Sii, mais...c'est la première fois...
-Je te promets de faire doucement.
Il approcha ses dents de ma nuque et y laissa sa signature.Je trésaillais.

-À mon tour de te faire plaisir Lucas.

Je le renverse pour lui montrer mon côté de dominant puis je lui lèche les tétons.Je descends en laissant dans mon sillage une traîner de salive.

Je m'approche de son sexe.Sans hésiter, je répète ses gestes en moins précis.J'ai peur que ça ne lui plaise pas alors je deviensplus avenant.Je mets la chose dans ma bouche et commence des mouvementsde vaet viens.Ça avait l'air de lui plaire au vu des bruits qu'il poussait.

-Jules enlèves la de ta bouche vite !

Son ton précipité me crispais et j'obéissais en vitesse.

-Lucas tu..?

-Non, juste, que je vais jouir, je ne voulais pas le faire dans ta bouche.

Il me l'avait dit tellement calmement, comme si cette conversation aurait pu se tenir autour d'une table de repas familial.

J'étais toujours sur lui et nos deux "bâtons" se touchaient.Je poussais un autre gémissement.

Il m'embrassa de nouveau.Un baiser long, langoureux, sensuel, chaleureux.Je me glissais de nouveau contre lui.

Il en profita pour me chuchoter au creux de l'oreille.

-Met la moi s'il te plaît !

Sur le coup, je ne comprenais pas puis dans unhoquetementmal dissimulé je détournais la tête.Je ne l'avais jamais fait.

Il m'enlaça.Ses bras autour de ma taille semblaient me dire "ne t'inquiète pas je ne te lâcherai pas. vas y de toute façon si tu tombe je te retiendrai."

-Ne t'inquiète pas vas-y, je te fais confiance.Je te veux maintenant prend moi s'il te plaît.

Il se retourna et je plaçais un doigt dans son anus.Il grogna de douleur ou de plaisir, je ne savais pas.

J'y enfonçais dangereusement un second doigt.

Je les remuais pour tâcher de trouver son talon d'Achille.Je ne tardais pas à le déceler, il poussa un cri de plaisir lorsque j'appuyais sur une zone au hasard.C'était chaud etvisceux, mais ce ne me dérangeait pas.

-Mmmencoremmm

Bien décider à lui montrer le meilleur de moi-même, je lui léchais le lobe de l'oreille, un autre cri.
J'étais satisfait.
-Je suis prêt aller !
Sans plus attendre, je rentrais mon engin dans son rectum.
Au même moment, il éjacula sur les draps de l'hôtel.
J'enfonçai lentement, mais sûrement.
-Plus vite Jules !Fais-le vite, j'en peux plus.
Alors j'agitais frénétiquement ma queue à l'intérieur de lui faisantdes vaset des viens de mon sexe.
Il tremblait et haletait comme un chien ce qui m'excita trop, je n'eus pas le temps de m'ôter de sa personne que je sentais déjà mon sperme sortir.Il le sentit aussi et rigola.
-Qu'est qui te fait autant plaisir ?
Je m'enlevais, il se retourna et me coinça en me tenant les bras et appuyant de tout son corps sur le mien mettant bien sa sienne de verge sur mon ventre.Elle était humide et dure.Et,toutcomme la mienne il ensortaitun liquide blanc qui avaittâchélesdrapspar nombreux endroits.
-Ma nuit avec toi est la meilleure.Tu as bien fait de venir dans ce bar.
-Lucas, cette premièrefoism'a fais rêver.
Cette fois, je l'embrassais le premier.
Corps contre corps, se frottant de partout comme deux biens heureux. J'aimais son contact contre ma peau ce frottementinssecant.Le bruit de son cœur, de sa respiration.Je passais une main dans ses cheveux marron et doux comme de la soie.Mes yeux fermés ne voulaient plus se rouvrir de peur de découvrir un rêve.


Voilà.Je vous ai présenté ma première leçon d'amour.
Moi, Jules 19 ans gay et fier, mon "dépucelage" je l'ai fait avec cette homme. Lucas, 18 ans gay et fier. Beau comme un prince avec un côtébadboy lui sciant à merveille et en prépa science.
Nous nous sommes rencontrés dans la même école sans jamais nous voir réellement sauf cettenuit la.
Sa dernière année ici.Lucas ne se plaît pas, il veut changer d'air.Nous nous sommes rencontrés à sa fête.
Non, je n'étais pas invité, mais vous connaissez le bazar hein ?Des potes qui en invitent d'autres qui en invitent d'autres qui en invitent d'autres.Bref, moi le mec le plus impopulaire ai coucher avec ce mec.Plus puceau depuis belle lurette, on dirait.

-Jules ?Jules ???
-Hein ?Quoi pardon je...
-Merci pour cette dernière nuit ici.
-Mais...
Il plaqua sa main sur ma bouche.
-Chuuut.
il enfila ses vêtements et partie sans un regard en arrière.
Mes jambes ne faisaient rien pour le rattraper.
Alors c'était comme ça que ça se finissait ?Sans nul autre accoutrement ?Tout ce que nous avions partagé, cela, lui importait-il si peu que ça ?
Sur mes joues, des larmes de rage coullaient dans un flot continu.Je balançais un oreiller, le siens, et y découvris un bout de papier chiffonné.
"Je n'aime pas les adieux"
J'étais déçu et malheureux comme une pierre.Le réveil annonçait 10 h 27.Je posais ma tête lourde sur mon oreiller mais jen'arrivais pasà me reposer.Toute la chambre gardait l'effluve d'un amour impossible.Je décidais de quitter les lieux.Je passais aux toilettes me vider la vessie. Je passai devant le miroir pour un brin de toilette. En me postant devant celui-ci je vit sa brosse à dent. Oubliée elle aussi. Je la pris délicatement entre mes doigts maladroits et regardais les derniers vestiges de cette folle nuit. Je fus pris d'un haut-le-cœur et me dirigeai vers la cuvette.
Les cours d'aujourd'hui allaient attendre.

Je repartais, ou plutôt fuyais le lieu du sinistre et son lit sans dessus-dessous les tachesavec.Je gardais la brosse à dents comme trophée et partais sur la route morne et triste de mon destin. Lucas au moins, savait ce qu'il voulait faire. Ce mec populaire, j'aurai dû lui cracher au visage dès le moment où j'ai craqué pour ses beaux yeux. J'avais une folle envie de hurler. Ma vie n'avait plus de sens. À partir d'aujourd'hui mon existance ne serai qu'une fichu tâche dans le décors. Cette tâche impossible à enlever qui s'accroche à emmerder et jouant son rôle à merveille.

Moi, Jules 19 ans aucun destin. Moyenne générale 11.33, futur flou imprécis, dénuée de tous sens quand on essaie de lever le brouillard dans cette zone. Au moins, Lucas lui, il savait. Lucas savait tout, même faire l'amour. Ha oui ! Ce salaud savait donner du plaisir ! Je pouvais encore sentir son parfum imprégné dans les mailles de mon pull de laine. Énervé, je le jetai dans la première poubelle qui s'offrait à mes yeux.

Les mains dans les poches l'une tenant fermement le "trophée " l'autre serrée, entaillant de ses ongles la peau."La main s'abîme quand on l'utilise tout le temps"m'avais dis Lucas quand je lui avais annoncé la couleur de ma vie de puceau. Il avait eu ce sourire à la con. Ses belles dents blanches me riant au nez. Ce salaud !

Je tapais rageusement dans une canette laissée là par un passant irrespectueux. Je mis en place mesairpod, seul chose de bien dans la vie : la musique, classique et douce de préférence. Le peu, très peu d'amis que j'avais en stock me jugeait, mais je m'en foutais. De toute façon, je me foutais de tout maintenant.
Le temps se couvrait petit à petit et je regrettais mon pull. Encore une fois à cause de ce salaud, je n'ai plus de pull ! Pas un numéro, pas un mail. Rien.

Je rentrai chez moi déprimé. Ma colocataire me regarda m'asseoir et m'empiffrer de bretzel. Elle et moi, on ne se parle seulement quand il s'agit de payer le loyer. Elle s'appelle Leïla. Des yeux noisette, des cheveux de métisse allant parfaitement avec sa couleur de peau caramel clair. 18 ans mais elle me dépasse d'une tête et a un corps d'athlète. Elle étudie la géologie. Elle a un caractère bien prononcé pour le rangement au bord de la maniaquerie je trouve.

-Jules tu fou des miettes partout.
-Je m'en fiche de tes miettes si tu n'est pas contente bouffe les !
-Pardon !
Je répétais ironique son indignation avec une voix légèrement plus aiguë.
Elle s'approcha de moi, sourcils froncés.

-Donne.
Elle tendait le bras vers ma nourriture.
-va te faire voir ?

-donne !
-Nan.
-DONNE !
Je lui arrangeai un magnifique doigt d'honneur.
Pour toute réponse, elle m'arracha mon paquet et en reversa le contenu sur le sol.
-mais t'es tarée ma pauvre !
-un connard et une tarée vont bien ensemble.
-Tu me fou les boules laisse tomber.
Je me levais difficilement de la chaise et me dirigeai vers ma chambre.Leïla me tira par la manche.Je la repoussai brusquement.
-Nettoie.
-Pauvre conne, tu mets toute ma précieuse denrée par terre, et tu crois que je vais ramasser.
-Si tu continues, je m'en vais, j'ai trouvé un appartement boursier beaucoup mieux que celui-ci !
-Mais casse toi !Personne ne t'a demandé de rester putain !
Sur ce, je me dirigeai dans ma chambre — seul lieu de repos — la gorge nouer. Si elle partait, je partirais aussi. Mes parents n'était pas assez riches pour me permettre un appartement à moi tout seul.
Merde, tout partait en couille. Je jetais mon sac de cours vers mon mur. Il éclata ma lampe de bureau au passage. N'en pouvant plus de ce désastre, je m'affaissais contre ma porte de chambre, tête dans les bras. Je laissais libre cours à ma tristesse. Passer d'un état de jouissances à un état de mort-vivant, c'est comme mélanger de la bière, et du champagne, ce n'est bon ni pour le moral, ni pour la santé. Ma déprime me submergeait sans que je ne puisse y faire quoi que ce soit...







28 de Janeiro de 2022 às 19:09 3 Denunciar Insira Seguir história
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Imen Quenisha Quiana obeid Imen Quenisha Quiana obeid
J' ai beaucoup aimé...vivement...la suite.🔥
February 20, 2022, 08:02

~

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