b-beletbeau Bernadette Beletbeau

Deux amis de longues date, liés par une complicité fusionnelle. Depuis 10 ans , elle est éprise de lui, mais il est aveugle a ses sentiments. Elle est sa confidente, son soutien inconditionnel, tandis qu'il reste le rêve et l'obsession qui hantent ses pensées. Cependant, leur relation est mise a l'épreuve lorsque le destin les sépare : une mutation professionnelle oblige Guillaume à partir. Mais le hasard fait en sorte qu'il découvre cet amour inavoué dont il est l'objet et prenne peu a peu conscience de la réciprocité des sentiments de Lisa . Une nuit d'orage, une nuit d'amour passionnelle... Marque un tournant dans leur histoire avant que la mutation et la distance ne les sépare. Plongeant Lisa dans un immense chagrin d'amour 9 mois plus tard un choc vient bouleverser leurs existences et les réunir de manière dramatique ! Une naissance catastrophe ... Lisa a fait un "déni total de grossesse" ! Cela ajoute encore une couche de complexité à leur amour contrarié. Plongez dans cette histoire où les destins s'entremêlent, révélant les tourments de deux âmes liées par un amour profond et complexe.


Romance Suspense romantique Interdit aux moins de 18 ans.

#amitié #denigrossesse #amour #famille #pompiers
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Premier amour

Nul autre que lui Tome 1


Premier amour

(Marie-Élisabeth) :

La sonnerie qui marquait la fin du dernier cours de l'année sonna. On était mercredi, les cours terminaient à midi. Le pensionnat St Maxence où Marie-Élisabeth avait étudier depuis la 6ème allait fermer ses portes pour l'été. Mais elle ne serait pas là, à la rentrée prochaine. Elle avait passé les épreuves du BAC quelques jours plus tôt et les résultats arriveraient début juillet.

L'an prochain, elle irait dans à faculté de droit à Cholet et se lancerait dans des études pour suivre la même voie que son père qui était avocat de renom. Ce dernier ambitionnait pour sa fille, qu'elle reprenne son cabinet à l'issue de ses études. Elle y prendrait une colocation avec ses deux meilleures amies Laure Roussel et Cindy Barstoly.

Ses amies avaient déjà trouvé la colocation à Cholet, et une chambre se libérait justement à la rentrée pour elle.

Marie-Élisabeth retourna au dortoir pour y récupérer ses sacs afin de prendre son train pour rentrer à Angers ou habitait ses parents. Elle dit au revoir à ses camarades de pension. Léonie, Clara, Delphine. Elles se verraient dans 15 jours quand ses amies viendraient à Angers pour sa fête d'anniversaire.

Marie-Élisabeth Duval, plus couramment appeler « Lisa » était une jeune fille douce et réservée, très sérieuse et travailleuse. Elle n'était pas très populaire, dans ce lycée strict ou elle avait été pensionnaire durant 6 ans. La seule manière dont elle se démarquait, c'était par l'excellence de ses résultats scolaires et par ses talents dans les matières artistiques, que le pensionnat enseignait en option, en particulier la peinture, le théâtre et le Piano.

Deuxième d'une fratrie de quatre, elle avait un frère de 6 ans son aîné, Jérôme, qu'elle adorait et qui était son modèle et son « pilier ». Ainsi que deux sœurs cadettes, Madeleine et Juliette, respectivement âgées de 15 et 9 ans.

Elle n'avait que peu d'amis à St Maxence, ses vrais amis avait tous au moins deux ou trois ans de plus qu'elle. Cela avait toujours été ainsi, Marie-Élisabeth avait toujours rechercher la compagnie de personne plus âgées qu'elle. Cela était dû à sa précocité.

Mais surtout à son amour pour Guillaume Vaillant, qui était le meilleur ami de son frère depuis bientôt 19 ans. Comme ce dernier, il avait 6 ans de plus qu'elle. Pour qu'il s'intéresse à elle, elle avait toujours voulu grandir plus vite, espérant un jour sortir de l'impasse où se trouvait sa relation avec lui, depuis qu'elle le connaissait. Lui, la voyait comme la « petite sœur de son meilleur ami ! » elle comme son premier et unique amour, l'homme de sa vie, le seul l'unique...

Quand elle sortit de l'établissement, elle chercha des yeux sa cadette qui lui fit signe et lâcha ses copines dans un sourire et un joyeux « bonne vacances ! »

Puis elle se précipita vers Marie-Élisabeth pour la prendre par le bras

- On est en vacances, on est en vacances... On est... On est ... on est en vacances !

Se mit à chanter Madeleine en faisant titubé sa grande sœur qui se mit à rire.

- Et si tu continues à faire le zouave on va louper notre train ! Ou alors, on aura pas le temps de passer prendre nos sandwichs !

- Hé, hé ! qui c'est la meilleure ? c'est Madeleine ! j'ai fini à 11 h et je suis passé chercher nos sandwichs ! Ils sont dans mon sac, on a juste à aller directement à la gare !

- Oh tu es un amour, je meurs de faim... Pas eu le temps de déjeuner ce matin... J'étais au téléphone !

- Quel interlocuteur à bien pu te faire sauter le petit déjeuner ?

Demanda malicieusement Madeleine certaine de détenir déjà la réponse à sa question.

Marie-Élisabeth haussa les épaules sentant qu'elle allait encore subir les taquineries de sa cadette.

- Je mise un paquet de carambar sur ton pompier préféré ! Reprit madeleine.

Marie-Élisabeth soupira et ses joues se colorèrent un peu !

- Gagner ! s'esclaffa Madeleine, il voulait quoi ?

- Juste venir nous chercher à la gare, il a travaillé de nuit et m'a assuré qu'il passerait nous prendre avec la voiture de maman à la gare d'Angers !

- Ah cool, j'ai hâte de faire un plongeon dans la piscine... Il va faire une de ces chaleurs cet après-midi, c'est sympa que l'on ne soit pas obligé de faire la route de la gare à la maison a pieds avec nos sacs !

- Oui, il y a pensé, c'est la raison pour laquelle, il s'est proposé !

- Je crois qu'il est aussi impatient de te voir, que toi tu l'es ! ...

Marie-Élisabeth soupira personne n'ignorait dans sa famille, ses sentiments pour le jeune Pompier. Le seul qui ne voyait rien, c'était le principal intéressé.

- Oui enfin ! même s'il a hâte de me revoir, ses raisons ne sont pas les même que les miennes...

Dit Marie-Élisabeth d'un ton légèrement mélancolique

Tout en discutant, elles remontèrent la rue qui menait à la gare. Elles arrivèrent sur le quai qui affichait le départ pour Angers, dix minutes avant que le TER arrive.

Quand il s'arrêta en gare, elles montèrent dans le wagon de tête. Une fois installer face à face dans leurs sièges. Madeleine sortie leurs sandwichs et leurs boissons de son sac et elles déjeunèrent avec appétit. Le trajet jusqu'à Angers mettait environ ¾ d'heure. Aussi l'adolescente une fois l'estomac plein, eut tôt fait d'abandonner sa sœur ainée pour jouer sur son smartphone.

Marie-Élisabeth sourit avec bienveillance et se calant dans son siège. Elle ferma les yeux, son cœur battait douloureusement dans sa poitrine à la perspective de revoir son beau héros.

Un petit bip annonça l'arrivée d'un message entrant.

« Vous n'avez pas manquer votre train ? » Demandait Guillaume.

« Non, on est dedans on sera à Angers dans 30 mn environ. »

« Super ! Je me mets en route, hâte de te serrer dans mes bras, fillette ! A tout à l'heure. »

« A toute, Géant vert ! »

Marie-Élisabeth laissa retombée sa tête sur le dossier, dans un soupir éperdue d'amour. Guillaume était l'ami d'enfance de son frère. Ils se connaissaient depuis le cours préparatoire et avaient cultiver leur amitié comme deux frères inséparables.

De plus les Duval étaient voisins de la famille Vaillant et les deux pères voyaient d'un bon œil la solide amitié qui liaient leur fils respectifs.

A 9 ans quand Guillaume avait demandé le baptême, sous l'impulsion de Jérôme. Il avait fallu trouver des parrain et marraine. Guillaume n'avait ni oncle, ni tante, ni famille proche, pour tenir ce rôle. Jérôme avait donc proposé Alexandre et Aurore Duval ses propres parents ! Ceux-ci avaient accepter très volontiers de remplir ce rôle auprès du petit garçon. S'engageant du même coup à être toujours là pour lui en cas de besoin. Ils n'avaient aucune idée à l'époque de l'importance qu'ils auraient ensuite dans la vie de ce dernier.

En effet la vie n'avait pas fait de cadeaux à Guillaume ! A dix ans soit six mois après son baptême, un premier drame avait bouleversé sa vie d'enfant. Sa petite sœur de 5 ans était décédée d'une méningite cérébro-spinale qui l'avait emporté en deux jours à peine...

Deux ans plus tard, il avait perdu son père qui était pompier. Ce dernier avait péri dans une explosion, dans l'exercice de ses fonctions. Le laissant à la charge de sa belle-mère « Sandra » qui restait son unique famille.

Mais cette dernière avait sombré dans la dépression et les excès. Laissant Guillaume livré à lui-même.

C'est à quatorze ans que le pauvre adolescent avait atterrit dans sa vie et sa famille pour 18 mois. Lorsque Sandra avait dû partir se soignée en cure. Et que Alexandre et Aurore avaient tenu à accueillir leur filleul pour lui éviter de partir en famille d'accueil.

Elle venait alors d'avoir 8 ans. Instantanément, elle avait eu un béguin malgré son jeune âge, pour ce pauvre adolescent, malmené par la vie.

Malgré tout ce qu'il avait souffert en 4 ans, il n'avait rien d'un ado en révolte. Et ses grand yeux bleu-vert était d'une incroyable douceur quand ils s'étaient posés sur la petite fille qu'elle était alors.

Très vite, elle l'avait suivi partout recherchant sa compagnie et son attention de mille façons. Sans qu'il ne la lui refuse jamais...

Les années avaient passées et Guillaume restait attacher à la famille Duval, qui était véritablement devenue sa famille de cœur et sa planche de salut. Ils compensaient, par leur soutiens et leur affection, les manques dont il souffrait auprès de Sandra Vaillant.

Guillaume était devenu un jeune homme, et elle une adolescente. Mais au lieu de s'atténuer son béguin d'enfant avait viré en un amour exclusive et ardent dès l'âge de 13 ans.

Depuis lors elle n'avait jamais été capable de se détacher de cet amour à sens unique... Lui, l'aimait comme une petite sœur de substitution, elle avait un an de moins que celle qu'il avait perdu. Elle l'aimait comme l'homme de ses rêves, de sa vie... Aujourd'hui alors qu'elle allait sur ses 18 ans... Elle était toujours bloquée, accrochée à ce premier et unique amour, son cas était désespéré !

Le train arriva à 13 h 15 à la gare d'Angers. Quand les deux sœurs descendirent du train, Guillaume était déjà sur le quai à Les attendre. Marie-Élisabeth aurait reconnu entre mille sa haute stature et sa corpulence Athlétique.

Du haut de ses 1 m 95, Il était d'une beauté à tomber à la renverse, Et en imposait autant par sa stature de géant, que par sa musculature puissante, ajouté à cela un visage aux trait virils, un regard bleu-vert intense, propre à faire se pâmer toutes représentantes de la gent féminine de 7 à 77 ans.

Dès qu'il les vit, il sourit aux deux sœurs. Madeleine se faufila dans la foule des passagers et fit un signe à Guillaume qui lui rendit. Mais Marie-Élisabeth fut ralentie par une dame, qui lui mit sa valise à roulette dans les jambes en pilant juste devant elle, manquant de la faire tomber.

Sa cadette avait déjà sauté dans les bras de guillaume, que Marie-Élisabeth se stoppait net, après avoir bousculer la dame à la valise, qui la disputa. Elle s'excusa bien qu'elle ne fut pas en tort, et la contourna pour se diriger droit vers Guillaume. Il l'observait, et se moqua légèrement d'elle, dans un rire qu'il ne cherchait pas à dissimuler.

Le cœur chavirer de retrouver le timbre grave de son rire, elle se précipita dans ses bras juste à l'instant où ils les lui ouvraient pour les refermer sur elle.

- Guillaume !

Il la souleva de terre comme si elle n'avait pas pesé plus lourd qu'une poignée de cerise. Il embrassa son front avec une indicible affection, et elle se suspendit à son cou, heureuse, si heureuse de le revoir !

- Je t'ai manqué fillette ?

- Tu n'as pas idée ! dit-elle en posant une bise sur sa joue un peu rugueuse.

IL la laissa glisser au sol et elle retrouva la terre ferme. Elle recula un peu, et croisa ses yeux qui brillaient de tendresse et de malice. Il lui ébouriffa les cheveux comme il le faisait quand elle avait 10 ans. Brisant du même coup toute illusion naissante, qui pourrait lui faire espérer qu'il la voit autrement que comme une « petite sœur de cœur ».

Avec un pincement au cœur, elle s'écarta de lui cherchant la voiture de sa mère des yeux et esquissa un pas vers le parking de la gare. Mais il la saisit promptement par son sac à dos pour la stopper et la tirer en arrière dans un rire. Puis il la déchargea du sac à dos, ainsi que de son sac de voyage qu'elle venait de ramasser au sol.

- Laisse-moi ça, Lisa tu vas te casser le dos !

Elle lui céda les deux sacs et il prit ceux de Madeleine également !

Quinze minutes plus tard, la voiture se garait devant la villa des Duval, une belle bâtisse bourgeoise dont le père de Marie-Élisabeth avait hérité de ses parents 20 ans plus tôt et qu'il avait rénovée. Pour Marie-Élisabeth, c'était la maison du bonheur, car elle y avait toujours vécu et son enfance avait été merveilleuse.

Guillaume habitait chez eux depuis la mort de Sandra Vaillant, survenue 8 mois plus tôt. Alexandre lui avait prêter gratuitement une petite dépendance dans le fond de son jardin, qu'il avait autrefois aménagée en studio pour la mère d'Aurore. Et qui ne servait plus depuis plusieurs années.

Le petit studio en question faisait environ 30m2 et était déjà meublé, ce qui avait permis au pauvre Guillaume de ne pas être seul après son deuil. Et de ne pas avoir à rester dans la maison de sa belle-mère après son décès. Chose inenvisageable, vu qu'elle y était décédée. Une nouvelle fois, il avait bénéficié du soutien indéfectible de ses parents et de son frère, et avaient trouver le réconfort auprès d'eux.

Auprès d'elle !

Cette dernière épreuve, la plus cruelle. Puisqu'il était sans plus aucune famille, avait permis enfin à Marie-Élisabeth de se démarquer aux yeux de son grand amour. Elle avait été omniprésente auprès de lui, par son écoute et son soutien. Leur amitié en était sortie grandit avait pris un tour fusionnelle.

Elle jeta un œil en coin vers le jeune homme qui défit sa ceinture, il lui sourit. Madeleine qui était sur le siège arrière descendit pour courir vers la maison retrouver leur mère et la petite Juliette qui étaient dans la maison.

Elle resta encore un instant sur son siège et son regards croisa les yeux clairs du jeune homme.

- Comment tu vas, toi ?

Demanda-t-elle avec un doux sourire tout en effleurant son bras musclé du bout des doigts.

- Bien !... Mieux, beaucoup mieux ! Mais j'ai besoin de parler. Tu ne veux pas qu'on sorte tous les deux ? on pourrait aller faire un tour, faire un ciné, une balade et discuter ?

- D'accord, mais quand ? tu travailles ce soir ?

- Non j'ai fait des heures supplémentaires et je ne travaille pas cette nuit. Je reprends demain soir à 18 h

- Très bien, alors maintenant, si tu veux... je vais demander à maman, si elle n'a pas besoin de moi ? Mais normalement ça devrait passer.

- Merci Lisa...

Il posa une nouvelle fois un baiser sur son front et elle sourit.

Ils sortirent de la voiture et rentrèrent dans la maison, Juliette arriva comme un boulet de canon et sauta dans les bras de sa grande sœur pour l'embrasser. Marie-Élisabeth la serra affectueusement sous l'œil bienveillant de Guillaume qui souriait, ne quittant pas son amie des yeux. Puis, elle reposa sa petite sœur au sol et alla à la rencontre de sa mère pour l'embrasser avec tendresse.

Marie-Élisabeth était la réplique en plus jeune de sa mère : même traits de visage fins et empreints de douceur, même yeux bleu clair, même silhouette fine et élancée, même cheveux châtains ondulés. La seule différence résidait dans la coupe de cheveux : la mère arborait un carré long tandis que ceux de la jeune fille lui tombaient sur la taille. Cette coquetterie féminine faisait pâlir d'envie toutes ses copines, tant ses cheveux étaient soyeux et brillants. Le caractère doux et plein de tendresse, qui était le trait principal d'Aurore, se retrouvait chez sa fille de manière encore plus flagrante en raison de sa jeunesse.

Marie-Élisabeth fit une bise à sa mère, mais ne l'enlaça pas comme elle le faisait habituellement. Depuis la mort de Sandra, elle n'osait pas laisser déborder sa tendresse envers ses parents en présence de Guillaume, de crainte de le peiner, lui qui n'avait plus de mère à embrasser.

La tendre maman avait fait des cookies avec l'aide de la petite Juliette et les posa sur la table pour ses filles et Guillaume. Elle proposa ensuite du café à Guillaume et Marie-Élisabeth, et fit un chocolat à Madeleine. Après avoir parlé un peu des examens du bac et des résultats qui arriveraient bientôt, Guillaume demanda :

- Marraine, je peux t'enlever Marie-Élisabeth ? On voulait aller se balader un peu, et on ira chercher Jérôme à la caserne à 18 heures. Je te la ramène ensuite.

Aurore regarda Marie-Élisabeth qui la supplia du regard.

- Tu n'as pas besoin de moi, si ? questionna la jeune fille.

Aurore sourit.

- C'est que j'aurais aimé que tu gardes Juliette le temps que j'aille à l'hypermarché.

- Je peux la garder, moi ! Si Lisa envie de partir avec Guillaume. proposa Madeleine en souriant à sa sœur aînée.

- Elle ne va pas te faire tourner en bourrique ? Questionna Aurore en posant sur sa dernière fille un regard hésitant.

- On va regarder un Disney ! proposa Madeleine en regardant la petite gamine turbulente dont les yeux brillaient d'espièglerie.

- Oh oui ! Je veux rester avec Madeleine, affirma Juliette.

Marie-Élisabeth envoya un baiser en remerciement à Madeleine qui lui sourit puis reportant son attention sur Juliette. Elle lui dit :

- Si tu es sage, on ira manger une glace ensemble demain, ça marche Juju, et on passera par le parc de jeux ?

La gamine sourit et acquiesça.

- d'accord sauvez-vous ! Mais qui va monter tes sacs de voyage ? Pas moi quand même ?

Questionna Aurore pour la forme.

- Je m'en occupe, je vais les monter dans sa chambre, ainsi que ceux de Madeleine... dit Guillaume.

Aurore acquiesça. Il termina en hâte sa tasse de café puis, se levant, il sortit pour aller chercher les bagages dans le coffre de la voiture et les monter dans les chambres des deux sœurs... Une fois redescendu, il resta debout en attendant que Marie-Élisabeth finisse son café.

Elle prit toutefois le temps d'aller retirer sa jupe plissée et son chemisier blanc de pensionnaire pour revêtir un jean clair et un petit débardeur rouge, puis ils s’éclipsèrent.

3 Juillet 2023 09:51 0 Rapport Incorporer Suivre l’histoire
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