⚠️ Disclaimer ⚠️
S'il vous plaît ! evitez même, de regarder cette nouvelle si vous êtes une personne sensible aux questions de Pédophilie, relations sexuelles, Violence ou pour des raisons personnelles vous supportez pas les mots offensant, et etc...
Si vous êtes une personne, instable émotionnellement et que vous pensez que vous vous offensez pour tout, je réitère ne lisez pas cette histoire. Puisque, j'adore cracher les mots telles qu'elles sont ! D'une manière plus urbaine et simple.
Bon ! tout va bien, tout est calme maintenant ? Veillée vous asseoir. cherchez un endroit calme, encore mieux de Nuit, dans le noir. atténuer la lumière de votre portable, et encombrez vouz avec moi dans cette sombre histoire, si terrifiante mais a la fois sensationnel.
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Le 17 avril 1998, l'opération Nivaleau fut l'une des réussites depuis bien longtemps de la police nationale, permettant de trouver des esclavagistes, leurs complices et plusieurs de leurs victimes, tous des immigrants réfugiés.
L'inspecteur découvrit que certains d'entre eux s'étaient mêlés à des innocents devenus complices de ces actes malhonnêtes. Ils avouèrent avoir torturé, tué et abusé physiquement et sexuellement de jeunes filles de moins de 16 ans, en particulier celles qui étaient liées à Nivaleau. Sous pression et déconcerté, l'inspecteur demanda plus d'informations.
À l'aide d'un vieux morceau de papier, il atterrit sur les terres des Nivaleau, une famille où chaque membre disparut l'un après l'autre, jusqu'à ce qu'il ne reste rien de l'immense pouvoir qu'ils avaient à l'époque. Tous étaient morts sans explication logique. Les gens en parlent beaucoup et disent que le chef de la famille a disparu après avoir tué tous les garçons, ne laissant que des filles pour mener toutes sortes de pratiques expérimentales, y compris des séances de pratiques interdites.
En franchissant cette vieille porte, il trouva une lettre d'amour, remplie de passion charnelle d'une de ces filles, dissimulée sous la table. Astucieusement, l'inspecteur trouva un indice laissé dans cette lettre, puis il fouilla chaque pièce, espérant trouver quelque chose. Mais dès qu'il tourna le dos, il entendit des souris dans les murs. Ce qui était intéressant, c'est qu'à chaque bruit, l'écho résonnait derrière ce mur épais et froid. Rapidement, il appela des professionnels. Le mur fut démoli et il découvrit cinq jolies fillettes de moins de quinze ans, accroupies les unes sur les autres parmi une douzaine d'autres... Toutes mortes.
Est-ce un fait normal ?
Quelques jours plus tard, l'inspecteur les interrogea toutes, en vain. Chacune parlait une langue différente et ne voulait rien révéler. Je voyais des filles gentilles et innocentes. Dans leurs yeux, je sentais une immense rage et peut-être que l'inspecteur s'identifiait également à ces cinq fillettes complètement vides et traumatisées. Cette fois, la situation le plaçait entre l'enclume et le marteau, alors il décida sur-le-champ d'aller prendre l'air dans la salle d'observation, conçue pour permettre aux observateurs d'observer et d'enregistrer l'interrogatoire en cours sans être vus ni entendus par la personne interrogée.
— Inspecteur ?
— Agent Samuel, avez-vous remarqué quelque chose chez en elles ?
— En fait, c'est tout le contraire. Malheureusement, d'énormes recherches n'aboutissent qu'à leur nom et leur âge... Angie Sally Hawkins, américaine. Delphine Seguin, française. Khalimat Khadzhiyev. Toutes âgées de 8 ans. La plus grande, Selina Masaev de 14 ans. Ces deux dernières sont tchétchènes. Pour finir, nous avons Konomi Sugimoto, 6 ans, de nationalité japonaise. Personne n'est venu les réclamer ces deux derniers jours pour classer l'affaire comme un enlèvement. Chacun de leurs présumés parents biologiques présente des cas irrésolus, que ce soit des disparitions, des suicides ou des homicides, dans chaque pays respectif.
— Pour la toute première fois de ma vie, j'ai peur d'une affaire comme celle-ci, dit l'inspecteur.
— J'avoue être confus de la même manière.
Le 30 septembre 2012,
les 5 filles ont toutes été emmenées dans un orphelinat pour grandir en santé et pouvoir s'intégrer et se garantir une vie sociale, comme se faire des amis, sortir faire la fête, trouver un petit ami... Tomber amoureuses... Baiser... Ou peut-être plus...
Tout cela fait partie de l'expérience, n'est-ce pas ?
Merci pour la lecture!
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