pulchritudoaddams Pulchritudo Addams

Il l'aime, Elle non. Il voudrait la garder pour toujours...mais il ne pourra pas la garder en place. Elle est sa meilleure amie, mais pourtant il la veut, personne d'autre l'aura appart lui. Il fera tout pour elle... Trahir ces amies, sa famille, ses proches.... Sa chevelure flamboyante est encrĂ©e dans sa mĂ©moire... Dans ses rĂȘves les plus profond... Comment notre beau mafieux Leo Accardi pourra rĂ©sister Ă  sa dulcinĂ©e ? DorothĂ©a MĂ©ryl..


Romance Erotic All public.

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐈 : 𝐔𝐧 đŹđšđąđ« 𝐝'đĄđąđŻđžđ«

Nous sommes le vendredi 12 février, un soir d'hiver vers minuit. Le groupe d'amis se dirigeait dans une ruelle. Seulement éclairés par les néons des bars présents, ils rigolaient sur le chemin.

Ils arrivent au bar "Eau douce". Ils saluent le propriétaire, car oui, ses 9 amis sont des habitués depuis leurs plus jeunes ùges. Ils s'assoient à leur table. Celle qui est entre la vitre et le fond du bar.

- Non, mais sĂ©rieusement Victor et Apollon vous avez le mĂȘme Ăąge, c'est juste UNE place !

Les amis s'assoient pendant que le jeune homme avec des tatouages sur son avant-bras droit les regarde en leur parlant.

- Mais Aaron ! Tu ne peux pas comprendre ! La derniĂšre fois, il y Ă©tait donc c'est Ă  mon tour !

Apollon regarde ses amis. Meryl s'assoit et soupire en regardant les jeunes hommes se battre pour la Ă©niĂšme fois depuis qu'ils se connaissaient.

- Bon, sĂ©rieusement Apollon, Victor on en a marre il est minuit vous ĂȘtes les seuls qui crient comme des hyĂšnes. Victor , tu y vas je vous jure quelquefois, je me demande si on n'est pas Ă  la garderie !

Léo les regarde en soupirant. Victor s'assit au bord de la table, souriant. Les amis commandaient. Chacun prenait sa boisson et commençait à discuter.

- Alors votre journée ?

La jeune femme se nommant Aria ne disait rien et buvait son verre d'alcool. Puis ils remarquent une nouvelle fois leur amie Meryl soupiré en buvant son verre.

- Raconte-nous Lyr, tu as l'air d'en avoir sur le cƓur.

Elle les regardait, posant son verre en tapant sur la table.

- D'accord, d'accord. Je vous raconte.

La jeune femme commençait son récit. Cela se passait dans une entreprise dans l'architecture.

5 jours avant...

Elle Ă©tait une simple employĂ©e en CDI, avec une Ă©norme charge de travail Ă  faire pour le jour mĂȘme, alors que la journĂ©e se finissait dans 2 heures Ă  peine. Non, non ce n'est pas du vĂ©cu comme vous le voyez... C'est juste ma vie de larbin !

Un homme grincheux et prétentieux, se dirigea vers la jeune femme.

- Mademoiselle Dorothea , venez Ă  mon bureau s'il vous plaĂźt.

Il se dirigea dans son bureau, laissa la porte ouverte et s'assit sur son fauteuil. La jeune femme ferma la porte et se mit devant le bureau de son chef. En parlant, il faudrait qu'il se calme, il pĂšte plus haut que son cul alors qu'il est chef sur 1 Ă©tage sur 30...

-Vous vouliez me voir, pour quelles raisons, Monsieur Baller ?

Finissant sa phrase, la jeune femme le regarda interloculĂ©e. Elle ne le sentait pas, il Ă©tait du genre Ă  bien aimer provoquer les femmes pour des choses qu'il ne devrait mĂȘme pas s'intĂ©resser.

-Il faudrait que vous soyez plus... enfin...mettez des jupes qui montrent vos formes, des décolletés et quelques fois vous détendre ne vous feraient pas de mal. Je ne connais pas beaucoup de personnes qui seraient totalement ravies de vous aider et vous obtiendrez un nouveau poste plus rapidement grùce à cela !

Proposa le vieil homme, souriant. Meryl regardait le pervers de chef qu'elle avait face à d'elle. Et, c'est ça qui dirige notre section ?

Elle se retenait, malgré elle, et de lui mettre un énorme poing dans la figure. Si elle le faisait, elle n'aurait plus de travail et serait dans une trÚs mauvaise posture. Elle regardait son chef et dessinait sur son visage, un sourire forcé.

-Non, merci monsieur, j'y arriverais juste avec mes simples compétences.

Elle le regarda et il haussa les épaules légÚrement déçues.

- C'est bien dommage...j'avais déjà tout préparé pour vous Mademoiselle Dorothea...

Il lĂąchait un sourire mesquin. Quel connard ! Faire du chantage pour un poste. Quel connard quand mĂȘme ce vieux crouton .

- Alors plus tard, j'obtiendrais ce poste sans votre aide, mais merci de votre considération monsieur, passez une bonne journée et au revoir.

Elle tourna les talons et sortit de son bureau.

Au moment précis....

La jeune femme finit son rĂ©cit et buvait son verre d'une traite. Ses amis la regardent, choquĂ©s, et mĂȘme certains, en colĂšre.

- Mais quel gros connard, il se croit tout permis ?

Chris frappe son poing sur la table.

Meryl le regarde en haussant les Ă©paules.

- Bienvenue dans le monde du travail et des femmes.

Elle boit son verre pour oublier cette journée. Puis la douce et tendre Aria regarde ses amies.

- Pourtant, ce n'est pas pareil pour moi, je ne comprends pas !

Ils la regardent et Aaron prend la parole.

- Ta vie professionnelle, et mĂȘme ta vie personnelle sortent tout droit sorti d'un film romantique Ria, je te jure...

Il reprend une taffe de sa cigarette en la crachant tout en la regardant, Aria hoche la tĂȘte nĂ©gativement en les regardant.

- Je vous l'ai dit 100 fois, non !

Elle croise les bras en soupirant. Lucas la regarde.

- Tu es la sous-chef de l'entreprise ou tu travailles alors que tu as fini tes Ă©tudes il y a peu !

Chris enchaĂźne la conversation.

- Tu as un salaire Ă©quivalent aux nĂŽtres !

Ils hochent la tĂȘte en mangeant les apĂ©ritifs sur la table.

-Tu sors avec ton patron et ça fait 5 ans que vous ĂȘtes ensemble !

- Il est riche, beau, respectable, ta belle-famille t'adore !

Mathis observe en buvant, les joues rosies d'Aria.

- Tu vis dans un penthouse, ton meilleur ami t'aime, alors qu'avant, c'Ă©tait ton Crush !

LĂ©o pose son regard sur Aria et le groupe suit son mouvement.

- Quand il y a quelqu'un qui te harcĂšle, sois ton petit ami arrive Ă  ton secours ou c'est ton meilleur ami !

Aaron mange la bouche pleine, en parlant à Aria jusqu'à jeter quelques miettes de l'apéritif, quelques grimaces se font en le regardant, il se fait corriger par le chef du groupe.

- Ton mec et toi, vous ĂȘtes embrassĂ©s sous les cerisiers alors qu'il pleuvait et que vous vous ĂȘtes abritĂ©s dessous !

Meryl les regarde morose, en buvant son verre.

- Tu vas te marier avec lui, il avait réservé un parc d'attractions pour faire sa demande!

Elle sourit en la regardant. La jeune Aria rougit en baissant la tĂȘte et elle les regarde.

- Bon, j'avoue, mais ça ne vient pas tout droit d'un film romantique qu'on regarde à la télé !

S'exclame-t-elle.

Ses amis lui font les gros yeux et disent tous de bons cƓurs.

« SI !!! »

Puis se mettent à rire. Ils mangeaient et racontaient leurs journées, des anecdotes sur eux. Le bon vieux temps. Ils sortent du bar et se dirigent vers les escaliers de l'immeuble des garçons. Ils s'assoient sur les escaliers et Mathis pose une question qu'il ne faut jamais poser dans leur groupe.

- Alors les amours ?

Ils le regardent sans dire un mot puis Meryl prend la parole.

-La seule vie amoureuse que j'ai, s'appelle NĂ©mo mon joli plaid et Netflix puis les mecs et moi, c'est comme chien et chat...

Les garçons rient et la jeune femme les foudroie du regard.

-Et puis, tu es cĂ©libataire, comme un poisson et mĂȘme pour vous, c'est compliquĂ©, alors pourquoi en parler ! Vous nous dites tout le temps que vous n'avez pas le temps !

Ils hochent la tĂȘte et Victor regarde Mathis qui sourit fiĂšrement .

- Dis le Mathis si tu veux retourner le couteau dans la plaie ?

Il reprend la parole en changeant de sujet.

- Sinon on va partir en vacances, ça fait un moment qu'on ne s'est pas tout rassemblé !

Les filles se regardent et Aria sourit.

- Ça serait pour quand ? Pour qu'on s'arrange, et toi Lyr ?

Elle fronce les sourcils.

- Il faut que je voie... c'est vrai que je n'ai pas pris de vacances depuis longtemps, enfin depuis que je travaille. Je demanderais.

Aaron se met Ă  sourire.

- On partira dans 3 semaines, pendant 2 semaines au Naples. On a tout réservé enfin...Il ne manque plus que vous !

Les filles se mettent à sourire. Ils continuent de parler encore et encore jusqu'à ce qu'ils comprennent qu'il est déjà 3 heures du matin. Les garçons font un dernier signe aux filles et montent dans l'agence afin de se diriger dans leur dortoir. Quant aux filles, elles décident de rentrer chacune chez elles.

Aria rentre revoir son futur mari et Meryl dans son appartement accompagnĂ© de kiki. En vrai, il s'appelle Billy, mais il comprend plus son surnom kiki, c'est peut-ĂȘtre parce que je l'appelle Kiki tout le temps ?

Les 3 semaines s'étaient écoulées, les amies se retrouvaient devant l'endroit prévu. Mais les amis enfin plus les filles sont trÚs peu enjouées sur leur voiture, surtout Meryl.

- C'est quoi ce van hypervieux ? Il est ou le van confortable ?

En vrai, il n'est pas moche, c'est un vieux van, le toit est blanc, turquoise, les vieux vans des années 80... . Mathis croise les bras en riant.

- Tu n'aimes pas les vieilles voitures, mais tes ex ça ne compte pas dedans ?

La jeune femme le regarde et se mit à lui courir aprÚs. Mathis crie des « aux secours maman !. »

Pendant que leurs amis les regardent faire leurs chamailleries habituelles.

Les autres montent dans la voiture en attendant que « Tom & Jerry » arrĂȘtent de courir comme des fous.

Le chat et la souris rentrent enfin dans la voiture et se mettent à cÎté. Oui, oui, c'est vrai, ils viennent de se cracher à la figure et maintenant, de se coller.. Oui, oui, nous sommes bizarres.

Tout le monde s'attache, la voiture démarre. Les débuts de vacances commencent !

MĂ©ryl

Le groupe Ă©tait en direction de leurs destinations des Naples, ils avaient pris l'avion et le super van que Meryl adorait. Ils dĂ©cident de s'arrĂȘter afin d'Ă©changer leurs places pour faire la route. Enfin... Certains restent Ă  sa place, car certains n'ont pas envie de conduire ! Oui, oui, je parle de toi LĂ©o !

Le groupe descend de la voiture à l'aire de repos. La majorité va aux toilettes. Aria et Meryl décident d'aller chercher de quoi prendre à manger pour tout le monde sur le voyage, aussi pour le repas du soir, personne n'aurait l'envie de faire à manger aprÚs un long voyage ce soir.

Les jeunes femmes prennent un panier de quoi manger pour le voyage, il y a quelques boissons, quelques gĂąteaux. Pour ce soir, elles prennent de la nourriture pour faire un barbecue ! Elles se dirigent vers la caisse et payent leurs courses, pendant ce temps, les jeunes hommes Ă©taient en train de fumer vers la voiture. Les filles prenaient toutes leurs courses en main et Chris vient les aider en prenant quelques courses. Qu'il est galant notre petit Chris !

Les 3 amies mettaient les courses dans le coffre en essayant de les passer dans les valises de tout le monde.

En mĂȘme temps, comment peux-tu te retrouver ? Entre celui qui se croit Ă  la Fashion Week et celui qui prend juste un sac, comment peux-tu te retrouver ? Et puis tu es celui qui prend tout pour tout le monde au cas oĂč, on ne sait pas, mais ça pourrait servir, regarder y en a un, il a quand mĂȘme pris ses nounours favoris. Bon, aprĂšs, je ne vais pas vous mentir, j'ai une trousse Ă  pharmacie au cas oĂč.

Les amies se remettent dans le van et le plus jeune du groupe prend la route jusqu'à l'endroit prévu. Quelques heures ont passé depuis le voyage et nous voilà à notre destination ! Aaron se gare vers le parking. Cet endroit est vraiment charmant si vous saviez. C'est une villa mi-moderne et un peu vintage. L'intérieur est trÚs grand et spacieux, la terrasse dehors donne un aperçu sur la mer, il y a des escaliers qui se dirigent vers la plage, une jolie piscine, une chambre chacune, une spacieuse cuisine enfin...Une villa quoi !

Je remercie les garçons d'avoir choisi l'endroit et la maison, c'est au-dessus de mes moyens ça peut faire 10 ans de salaire si je ne mange rien, merci les garçons vraiment, j'aurais pris une petite caravane et la majoritĂ© serait dans des tentes, on n'aura pas eu le mĂȘme confort...

- On est enfin arrivés, je n'ai jamais autant aimé une place de parking les gars si vous savez !

Apollon s'étire et sautille afin de se dégourdir les jambes.

- On mange quoi du coup ?

Lucas sort les bagages de la voiture.

- Toi, Mores Lucas demande ce qu'on mange ? J'ai cru que c'Ă©tait Mathis, Victor ou Aaron qui proposaient de manger !

- Je suis un humain, je mange, je dors.

- Tu dors surtout oui !

LĂ©o et les autres se mettent Ă  rire et se dirigent vers la maison qui va devoir les supporter pendant 2 semaines.

- Il y a Ă©normĂ©ment de fenĂȘtres, mettez des lunettes de soleil dĂšs le matin pour les enfants !

- Lyr si on est parti en vacances, c'est pour ĂȘtre tranquille et non dorloter par une autre nounou.

Je les regarde en soupirant et part ranger sa valise dans sa chambre. Je range ses affaires et finis aprĂšs une dizaine de minutes. Je marche en direction du salon soudain, elle regarde ses amies perplexes et surprises.

- Mais qu'est-ce que vous faites ?!

Les amies la regardent en souriant, il avait dĂ©corĂ© la maison en catastrophe de dĂ©coration, enfin si on peut dire que c'est dĂ©corer, ils avaient juste de jolis petits chapeaux en forme de cĂŽnes sur leurs tĂȘtes et de quoi faire du bruit.

- Bon anniversaire Lyr !

Nous sommes le 18 mai, c'est bel est bien le jour de l'anniversaire de notre petite Meryl.

Je les regarde en souriant et de surprise. On ne va pas se mentir, elle a oublié que c'était son anniversaire aujourd'hui.

- Merci, les gars, mais vous ĂȘtes tous adorables avec vos petits chapeaux sur la tĂȘte !

Je les regarde en riant en les voyant tous, je trouve qu'il y a une ressemblance avec les 7 nains de blanche neige. Mais ils avaient dĂ©jĂ  prĂ©vu tout ça, le jeune homme aux yeux bleus et aux cheveux noirs en avait dĂ©cidĂ© autrement, il s'approche de la jeune femme avec le petit chapeau autrefois comparĂ© Ă  un bonnet des 7 nains de blanche neige. Il a dĂ©cidĂ© de se venger Ă  sa sauce comme on dit. Il mit son chapeau sur la belle rousse. Quand il met son chapeau sur sa tĂȘte, un sourire enfantin se dessine sur son visage il tire lĂ©gĂšrement enfin lĂ©gĂšrement beaucoup sur l'Ă©lastique de la ficelle et la lĂąche. " Clac ! " Oh, petit Apollon, tu as intĂ©rĂȘt Ă  courir pour ta future mort, tu as de la chance, tu mourras dans une jolie maison... !

- Reviens ici de suite Naller Apollon !

La femme avec la chevelure flamboyante. Les deux amies se regardent et le jeune homme se mettait Ă  courir, la jeune femme le suivi de prĂšs en envoyant tout mauvais sort avec ses yeux marron. Le duo s'arrĂȘte au bout de 5 minutes, Comment voulez-vous voulez gagner avec un jeune homme avec ce joli minois faisant les yeux doux dignes du chat pottĂ© ! C'est trĂšs difficile Ă  rĂ©sister. Ils reviennent Ă  leurs principales occupations celle de l'anniversaire de Meryl

- Alors vous m'avez pris quoi comme gĂąteaux ? Attendez, je vais deviner... Dites-moi que sait un framboisier !

- C'est plus drĂŽle de jouer avec toi, tu sais toujours tout...

Le regard du plus jeune de la tribu fait une moue triste, on pourrait croire qu'il est redevenu un enfant pourtant il ne l'est pas.

- En mĂȘme temps, je ne mange que celui-ci comme gĂąteaux, Aaron voyons...

- Raaaaah ! Mais innove quand mĂȘme, tu viens que d'avoir simplement 24 ans, faudrait peut-ĂȘtre changer tes habitudes ?

- Regarde, je commence Ă  avoir des cheveux blancs !

Elle lui montre ses cheveux prĂšs de lui et il s'approche en regardant, elle lĂšve sa main et lui met sa main derriĂšre la tĂȘte pour le frapper. Il ronchonne et la regarde, c'est la guerre entre nos deux amies ici prĂ©sentes. Le groupe recule trĂšs rapidement. Aaron dĂ©cide de prendre un bout du framboisier de madame. Enfin un bout, il mettait sa main entiĂšre dans le gĂąteau.

Il lui en met sur son visage rigolant, fiĂšre de sa bĂȘtise. Elle le regarde et elle essuie la crĂšme avec ses doigts en lĂ©chant ses doigts.

Se dĂ©lectant de cette crĂšme goulĂ»ment et dĂ©sirĂ© par les lĂšvres de son amie, regardant de haut en bas chaque geste, mimique. Notre chĂšre LĂ©o voudrait bien ĂȘtre cette crĂšme et ses framboises prĂšs des lĂšvres de la belle rousse...

LĂ©o

Je secoue la tĂȘte chassant cette idĂ©e et il se dirige vers ses deux amies arrĂȘtant leur chamaillerie, mais le destin a fait que tout cela ne se passe pas comme avait prĂ©vu Leo. Meryl a prĂ©vu de lancer le gĂąteau en entier sur Aaron, mais bien sĂ»r notre beau chĂątain, il s'est dĂ©jĂ  enfui, mais le gĂąteau n'arrive pas au visage d'Apollon..

Le silence rĂšgne mĂȘme Aaron, c'est arrĂȘter de courir ou mĂȘme de respirer. Il a bel et bien pris le gĂąteau en pleine tĂȘte.

Ce beau framboisé qui au début ne méritait pas ce pauvre destin...

Elle s'avance en enlevant la crĂšme sur son visage en se retenant de rire, je la regarde et je lĂąche un soupir puis un rire.

Le groupe d'amies soupir de soulagement entendant le rire de notre bel asiatique, italien, c'est trĂšs rare qu'il accepte les bĂȘtises de ses amies encore plus, il dĂ©teste ce genre de chose et ĂȘtre sali.

- Attendez-vous ĂȘtes, quand mĂȘme trĂšs beau comme ça venez pour une petite photo notre beau duo !

Notre beau duo de gùteaux du framboisier revisité se rapproche afin de prendre une photo, ses yeux verts se dirigent vers le visage enjoué de Lyr, il pose sa main sur sa hanche et sourit en la regardant. Puis il se détache, revenant comme avant impassible et juste le meilleur ami de Lyr.

- Bon, je vais me laver le visage, je n'ai pas envie d'imaginer ça sÚche sur mon visage. Juste y penser ça me fait frissonner.

Je me dirige vers la salle de bains en me lavant le visage, je sens une prĂ©sence et lĂšve sa tĂȘte pour le voir Ă  travers le miroir. Le plus ĂągĂ© blond aux yeux verts le regarde adosser Ă  la porte en croisant les bras.

- Tu sais que mĂȘme si tu le penses au plus profond de toi ça sera compliquĂ©, elle ne pourra pas accepter ?

Je m'essuie en soupirant.

- Meryl est peut-ĂȘtre la seule femme que je puisse accepter dans ma vie et puis je ne peux pas essayer au moins une fois et que j'ai encore un peu d'once d'humanitĂ©, de sentiment en moi ?

- Tu le mérites autant que les gars le mérite Leo, juste je te rappelle juste...

- La réalité, je sais, je suis le premier à le dire.

Quelques heures plus tard...

Je pose la serviette puis sors de la salle de bains avec son ami pour se diriger vers le salon vers son groupe d'amies.

-Bon, il est 19 heures, il serait peut-ĂȘtre temps de faire Ă  manger

Le bel homme aux yeux verts. Les amies hochent la tĂȘte se dirigeant vers la cuisine ou vers la terrasse. Quelques minutes, plus tard, les amies s'assoient Ă  table pour manger, tranquillement en mangeant et en riant. La soirĂ©e se passa joyeusement. Les amies se dirigent vers la petite cabane dehors afin de profiter du paysage.

- Attendez, je reviens prendre de quoi ne pas avoir froid.

Meryl part chercher quelques couvertures dans les placards. Elle en ramĂšne une dizaine au cas oĂč et les pose vers la cabane. Ils en prirent tous une chacune et s'installĂšrent en regardant le ciel Ă©toilĂ© pendant des heures en buvant des biĂšres . Il Ă©tait 3 heures du matin et la majoritĂ© dĂ©cident de dormir enfin, Lucas Ă©tait dĂ©jĂ  parti se coucher depuis un long moment. Meryl et LĂ©o prennent les couvertures afin de les ranger pendant que l'autre groupe dĂ©barrasse la table. Il regarde la jeune femme.

- MĂ©ryl ?

Elle le regarde en entendant son prénom. Il la regarde avec ses yeux verts en tendant une boßte emballée trÚs sophistiquée. Elle pose les couvertures et vient le prendre en main, elle le regarde interloculée et perplexe.

- On avait dit que l'on ne s'offrait pas de cadeau ?

- Oui... C'est vrai, mais je trouvais que ça te représentait et comme c'était bientÎt ton anniversaire il est ton cadeau c'est ce que tu dégages quand je suis prÚs de toi... et comment je me sens avec toi.

Elle ouvre le paquet-cadeau et elle le regarde surprise, Léo lui avait offert un collier en argent avec une pierre précieuse verte.

- Elle est magnifique, mais par simple curiosité elle me représente en quoi ?

- Elle est comme toi, magnifique, paisible et pétillante, agréable à regarder.

- Ho, je vois...

Ses oreilles rougissent et elle vient les cacher avec sa chevelure flamboyante en entendant la derniÚre phrase de son ami. Ils se regardent dans un long silence puis Aria arrive en fronçant les sourcils ne comprenant pas trop la situation présente.

- Bon, vous faites quoi ? On vous attend

Lyr range rapidement le cadeau et prient les couvertures et se dirige vers la maison en rangeant les couvertures. La soirée se passe tranquillement, ils se dirigent tous chacun dans leurs chambres. Meryl s'assoit et regarde le collier que Leo lui avait offert. C'était un collier en argent, une pierre ovale en vert émeraude entourée d'un ornement. Elle se demandait pourquoi avoir choisi cette pierre pour elle ?

Elle ne cherche pas plus loin, la fatigue était déjà présente à cause du voyage. Les vacances se passent tranquillement et pour tout vous dire, Léo et Méryl ne sont plus parlés depuis qu'il lui a offert son cadeau Méryl essaye de lui parler, mais à chaque fois, il l'ignore ou se précipite de rejoindre ses amies.

Elle décide de ne pas insister encore plus, elle ne voulait pas gùcher l'ambiance des vacances, elle attend le bon moment pour savoir pourquoi il est devenu distant.

Je me mets devant Leo dans la salle de bains en fermant la porte et je viens le regarder. Il me regarde en haussant un sourcil.

- Il faut qu'on parle.

- Lyr, je ne pense pas que ce soit le moment pour parler.

Il avait raison, il était parti se laver, il avait enlevé son haut.

Elle le regarde en rougissant légÚrement, ses yeux défilent légÚrement sur son torse musclé, son torse musclé avec une cicatrice sur le cÎté.

Tiens ? Depuis quand il a cette cicatrice je ne me rappelle pas l'avoir vu ni qu'il a mentionné.

Elle remonte ses yeux vers lui et elle regarde son torse musclé jusqu'au début de la fin. Elle le regarde droit dans les yeux en se recentrant sur l'objectif qu'elle avait. Lui parler.

- Ce n'est pas grave, tu m'expliques pourquoi ça fait 2 semaines que tu m'ignores depuis que tu m'as offert ceci ?

Elle lui montra le collier que LĂ©o lui avait offert ce jour. Il soupire et la regarde.

- Ma belle ce n'est rien, c'est juste que...

- Stop, tu ne me la feras pas, ça marche peut-ĂȘtre avec toutes les femmes avec qui tu as Ă©tĂ© ou en flirt, mais pas avec moi, Leo Accardi. Tu vas me dire tout de suite ce qui se passe, tout de suite.

- D'accord, ce sont les gars, tu les connais, ils adorent charrier et dĂšs que je t'adresse la parole ils font leur enfantillage.

Elle le regarde en croisant les bras en haussant un sourcil, elle le sait. Il ment les gars m'embĂȘtent jamais Leo sinon c'est en fini pour eux, il est le meneur du groupe. En plus, il a un tic montrant quand il ment. Il ne cligne pas des yeux.

- Léo, les garçons on fait pire et tu as pourtant pu gérer leurs enfantillages.

- C'est vrai, je me suis un peu emporté mais je suis désolé de t'avoir ignoré pendant deux semaines. Je m'excuse.

- Je ne t'en veux pas au point de te détester, mais juste parle-moi, on se dit tout ok ?

Il hoche la tĂȘte.

- Bon, Bonne douche du coup, je ne te retiens pas plus que ça !

Elle sort de la salle de bains et croise Mathis qui la regarde perplexe.

- Qu'est-ce que tu fais dans la salle de bains avec Leo ?

Il la regarde et elle cherche du regard une réponse vers Léo qui la regarde en lùchant un sourire au coin. Le petit con, il veut me voir galérer.

-Je...Je parlais avec Leo

- Dans la salle de bains ?

Mathis la regarde, qui pourrait croire ça ? Une conversation dans une salle de bains, mais oui bien sûr! Bravo Méryl !

LĂ©o ouvre la porte toujours torse nu.

- Au fait Lyr, je voulais aussi te dire...

Il s'arrĂȘte directement en voyant Mathis et fronce les sourcils. Le blond aux yeux verts les regarde en souriant.

- Alors c'est ça votre grande discussion dans la salle de bains...

Je pars précipitamment dans ma chambre, je voulais fuir cette discussion. Le plus rapidement possible.

LĂ©o regarde la petite pĂȘche partir dans sa chambre. Oui la petite pĂȘche c'est comme ça qui la surnomme.

Il regarde Mathis en soupirant.

- Ferme ta gueule Mathis

- Je comprends vous avez des envies, je te comprends Leo Lyr et quand mĂȘme une trĂšs jolie femme..

Le sang de Leo se mit Ă  bouillir dĂ©s l'instant oĂč il a entendu cette phrase et serre le poing.

- Doucement, je rigolais tu sais trÚs bien que les femmes ce n'est pas mon style, je voulais juste voir comment tu es piqué par elle et.. J'ai ma réponse

Il le regarde en souriant et Léo le regarde toujours en fronçant les sourcils.

- Ta gueule.

Il claqua la porte de la salle de bains, Mathis sourit, fier de cette situation amusante tout en partant dans le salon. Méryl n'est pas sortie de sa chambre depuis cette altercation et elle était partie se coucher en regardant une série mais elle finit par s'endormir dessus. Elle se réveille en milieu de la nuit.

Meryl

Je me réveille et je réalise que mon PC était toujours allumé, je regardais une série policiÚre me voilà sur un film d'horreur. Je viens poser mon PC quand j'entends des voix dans le salon.

Ne me dites pas que c'est un psychopathe qui est bas ?!

Merde qu'est-ce que je fais ?

J'ai qu'un simple nounours ! AprĂšs je peux l'Ă©touffer avec...

Je prends mon courage Ă  deux mains et je me dirige vers le salon pour mieux entendre.

En se dirigeant au salon, la jeune femme aperçut ses 7 amis parlants assis sur la table elle entendit quelque débris de la discussion.

- Concernant pour M.Milliano nous avons la cargaison qui sera le dĂšs notre retour des vacances. Mais il veut que nous le payions tout de suite

LĂ©o soupir en regardant son acolytique

- Il le sera quand tout sera vendu, bon concernant le projet ZĂ©ro ?

- On va bientĂŽt commencer, on a bientĂŽt l'acquisition de l'immeuble.

Ils se retournent en entendant un bruit soudain LĂ©o sorti son arme de son pantalon.

- Qui est lĂ  ?

- C'est moi, c'est moi, je me suis pris le meuble.

LĂ©o range son arme en soupirant de soulagement et ils ferment leurs dossiers et Meryl les regarde.

- J'ai dérangé quelque chose ?

- Non, on pourra continuer demain, mais tu ne dors pas ?

- J'ai une petite faim depuis la derniĂšre fois qu'on s'est vue je ne suis pas sortie

Il la regarde et regarde les alentours de la piÚce, les garçons étaient déjà partis, c'était une des facultés qu'ils aimaient chez eux le plus.

- J'ai faim trouvons quelque chose dans ce foutu frigo

Il la regarde et il cherche à manger ils trouvent des restes du barbecue Meryl part les réchauffer, au bout de quelques minutes, la jeune femme finit et pose tout sur la table et il s'assied.

-J'ai une question Leo ?

Il la regarde en mangeant attendant sa réponse.

- Vous faisiez quoi, tout Ă  l'heure ?

Il pose son verre et la regarde.

- Ce ne sont pas tes affaires ma belle.

-Mais c'est bizarre, pourquoi autant de mystÚre sur une simple réunion nocturne ?

Ses yeux verts se posent sur elle. MĂ©ryl, si tu savais ce que je fais tu ne me regarderais plus de la mĂȘme façon...

- Occupe-toi de tes affaires ! Je te le demande. Est-ce que je m'occupe des tiennes avec ton ex qui t'a frappé ? Non.

Elle le regarde surprise et se lÚve pour débarrasser son assiette.

Il se lĂšve et vient attraper la main de Meryl, elle se retourne et vient lui mettre une gifle les larmes aux yeux.

- La prochaine fois que tu oses dire une chose sur ma vie ce n'est pas une putain de gifle que tu vas prendre.

- Lyr...je ne voulais pas ça dire je m'excuse..

- Passe une bonne nuit sale connard !

Elle part dans sa chambre en claquant la porte.

Il lĂąche un grognement de colĂšre contre lui et lance violemment le verre contre le sol.

- Putain de merde !

April 12, 2023, 10:06 a.m. 1 Report Embed Follow story
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