Escapade
sur une aire d'autoroute
Il faisait
frais, c'était les premiers jours du printemps.
Depuis quelques
temps j'avais une fâcheuse envie de plans exhibe. Baiser ne me suffisait pas,
j'avais envie de frisson, l'excitation de se faire voir de se faire decouvru
par les mauvaises personnes. Le frisson de se faire attraper et rejoindres
peut-être...
L'excitation de
faire toujours plus d'aller toujours plus loin, de tenter de nouvelles
choses...
Ce jour là je
m'ennuyais et j'avais une fâcheuse envie de routier.
Je pris la
voiture et entrepris de chercher par tous les moyens un camion.
Je roulât
pendant une bonne heure en faisant le tour de tous les coins où je savais que
des camions stationnaient, Rien....
A devenir dingue. Mon envie
grandissait tout autant que ma
frustration. Et partout où j'allais, pas l'ombre d'un camion à l'horizon.
Je portais ce jour là une chemise
ample noir sur un soutien gorge rouge vif et des talons hauts. La chemise
m'arrivait si haut sous les fesses qu'elle ne pouvais franchement pas passer
pour une robe.
J'avais ouvert les boutons de
façon à faire ressortir mon soutien
gorge. Ma tenue ne laissait aucun doute sur mes intentions.
Trop d'envies, trop de frustration, il me fallait unChapitre IV
Escapade sur une aire d'autoroute
Il faisait frais, c'était les premiers jours du printemps.
Depuis quelques temps j'avais une fâcheuse envie de plans exhibe. Baiser ne me suffisait pas, j'avais envie de frisson, l'excitation de se faire voir de se faire decouvru par les mauvaises personnes. Le frisson de se faire attraper et rejoindres peut-être...
L'excitation de faire toujours plus d'aller toujours plus loin, de tenter de nouvelles choses...
Ce jour là je m'ennuyais et j'avais une fâcheuse envie de routier.
Je pris la voiture et entrepris de chercher par tous les moyens un camion.
Je roulât pendant une bonne heure en faisant le tour de tous les coins où je savais que des camions stationnaient, Rien....
A devenir dingue. Mon envie grandissait tout autant que ma frustration. Et partout où j'allais, pas l'ombre d'un camion à l'horizon.
Je portais ce jour là une chemise ample noir sur un soutien gorge rouge vif et des talons hauts. La chemise m'arrivait si haut sous les fesses qu'elle ne pouvais franchement pas passer pour une robe.
J'avais ouvert les boutons de façon à faire ressortir mon soutien gorge. Ma tenue ne laissait aucun doute sur mes intentions.
Trop d'envies, trop de frustration, il me fallait un camion... enfin j'espèrait des camions.....
Et puis me vint une idée, les camions il y en a sur les autoroutes. Donc logiquement sur les aires d'autoroute..
Justement je n'étais pas loin de l'autoroute.
Ni une, ni deux, la voiture pris le chemin de l’autoroute la plus proche, surtout l'aire la plus proche.
Arrivée sur le parking je me garait entre deux camions.
Je jetât un coup d'oeil autour de moi les chauffeurs des deux camions étaient dans leur cabine a lire ou jouer sur leur téléphone.
Je sortis donc de la voiture avec ma chemise à moitiés ouverte.
J'entrepris de faire le tour du parking en faisant bien attention de regarder tous ces routiers droit dans les yeux.
Il se mit légèrement a pleuvoir. L'eau ruisselait dans mes cheveux et ma chemise collait a ma peau.
Tous les routiers que je croisait avait un regard halluciné, se demandant sûrement qui j'étais.
J'aime choquer, j'aime agir différemment.
On me dit souvent que je suis une extra terrestre, je réponds juste que j'assume mes envies.
Je continuais donc de faire le tour de tous ces camions. L'excitation grandissait en moi comme un brasier.
Beaucoup avaient très envies de m'aborder, je le sentais mais ils n'osaient pas.
Je fait parfois cet effet là sur les hommes.
Trop entreprenante ils ont peur de ne pas être à la hauteur. Sinon c'est qu'ils ont cru que j'étais une prostituée cherchant le client.
Et en effet, un homme m'aborda en me demandant :
« C'est combien? »
Hummmmm l'idée d'être prise pour une pute m'excita.
Je lui répondit :
« Gratuit, j'ai juste une très grosse envie de me faire baiser dans un camion par un routier . Fait moi monter et tu auras tout ce que tu voudras »
Une bosse énorme se forma dans son pantalon et d'un coup il me regarda comme un chasseur qui as attrapé sa proie.
Hum mmm se regard …..
Cette façon de me désirer comme un objet....
Il me tendit sa main, que je pris et me fit tourner sur moi même histoire d'évaluer la marchandise.
Ça eut l'air de lui plaire parce qu'il m'amena jusqu'à un grand camion blanc.
Les marches étaient haute et pour m'aider à monter mis ses mains sur mes fesses nues . Ses doigts effleurèrent ma chatte trempée.
Je m'installa sur le siège passager et il fît le tour et s'installa à coté de moi.
Il me regarda et me demanda :
« Tu viens souvent ici ?
- Non c'est la première fois
– Et qu'est ce qui t’amène ?
– Une énorme envie de me faire baiser par un routier, les camions m'excitent.
– Et tu as envie de quoi ?
– Ce que tu veux c'était le deal, non ?
– Tu as un préservatif ?
– Ah non désolé, j'ai rien sur moi
– Ah merde
– Et je ne fait pas sans …
– Attends
Je descendit du camion en arrière avec les fesses bien en l'air, un petit groupe de routier traînait un peu plus loin autour du camion.
Je les rejoignis d'une démarche plus que suggestive. Ils me regardaient d'un air interrogateur. En arrivant près d'eux je leur demandais :
« Vous n'auriez pas un préservatif ? »
J'ai bien cru qu leur machoire allait se décrocher.... Excellent
Un homme fouilla dans sa poche et me tendit un petit carré argenté. Je m'avança près de lui, lui pris des mains et l'embrassa sur la jour pour le remercier. Puis je me retournai et repartit en sens inverse.
Un homme derrière moi me cria :
« C'est combien ? »
Je me retourna et lui dit :
« Gratuit, j’ai juste envie de jouer avec une belle queue aujourd'hui.... »
Et je repartit vers le camion. Remonter dans le camion avec les fesses bien en l'air, choses ardue avec des talons, mais on s'en sors.....
Quand j’entrai dans la cabine, le routier m'attendait braguette ouverte et bite bien raide.
Hum , il avais une queue bien galbée et bien raide. Impossible d'y résister
Sans aucun commentaires je m'approcha de lui et je le pris dans ma bouche. Elle remplissait toute ma bouche, elle était délicieuse.
J'entrepris de le sucer bien correctement ; en commençant pas suçoter son gland tous en l'aspirant délicatement.
Puis tout doucement, je fis des allers retours de plus en plus profond jusqu'à avoir engloutit sa queue toute entière.
Arrivée a la base un léger grognement pour faire vibrer mes cordes vocales et je l'entendit gémir. Je ressortit sa queue de ma bouche assez rapidement, j'ai appris avec l'expérience que d'être trop appliquée et trop consciencieuse faisait monter trop vite et me privait d'une bonne pénétration. Et ce jour là j'avais envie de me faire bien prendre.
Je lui tendit le petit carré argenté si durement gagné et me retourna sur sa banquette et me mis a quatre pattes.
Position bien inconfortable vu l'espace réduit, mais je savais, vu comment je l'avais excité, que ça allait être très rapide.
Il entra violemment en moi de tout son long. Dieu que c'était bon, il me remplissait entièrement. Il fit trois quatre allers retours puissant en je l'entendis grogner et s'effondrer sur moi.
Il avait joui......
Il se rhabilla et se confonda en excuse d'avoir joui si vite et surtout que je n'ai moi pas eut le temps de jouir.....
Ma réponse fût toute simple, atteindre l'orgasme est certes fantastique, mais pas nécessaire. La situation, le lieu, l'excitation de la nouveauté et l'audace que javait eut ce jour là rendait ce moment inoubliable.
Sur ces bonnes paroles je pris congés et le remerciât de ce moment.
En descendant du camion quelques routiers attendait, le ragards qu'ils me lancaient était assoiffé, et j'avais encore envie.
Je les rejoignis donc et leur demanda :
« Que puis-je faire pour vous ? »
L'air ebahis aucun ne pipait mot.
Par contre celui qui m'avais si gentiment donné le préservatrif, ne se demonta pas.
« Même pas cap de tous nous sucer et de te faire arroser »
Je ris et répondu :
« Serieux ? Vous n'êtes que quatre.....
Je vous suis.... même pas peur »
Il me pris par la main et m'entraina vers les toilettes. Je le suivis d'une démarche suggestive, les trois autre colles à mon arrière train.
Ils me firent entrer das les toilettes handicapés pour homme. Il y avait bien plus de place que dans les toilettes normales, et ils refermèrent derrière eux.
Mr préservatif me regarda d'un air de defi... Qu'est ce qu'il ne fallait pas faire.
Je passa ma main droite sur son entre jambe gonflée. La bosse de son pantalon était prometteuse.
Puis j'entrepris de lui deboutonner son pantalon et de lui retirer son caleçon.
Sa queue durcit sortit d'un coup, bien raide et je souris de plaisir. Je tourna la tête et je vît trois autres queues dréssées en train de se faire astiquer.
Hummm j'allais me régaler....
Je pris Mr préservatif direct au fond de ma gorge et je l'entendit grogner.
J'entrepris de le sucer à fond et sauvagement pas comme le routier du camion ou je voulais qu'il tienne.
Là je voulais qu'il crache et rapidemnt. Ca lui apprendrai de me mettre au défi.
Je le sucai de plus en plus vite pendant que je bramlais deux autres queues en même temps.
Il essaya de se retenir, mais je ne li laissa aucunes chance.
Je le sucais vite profond et d'un coup je sentis qu'il allais exploser je le ressortis donc et il me gicla sur le visage.
A peine arrosée je me tourna à droite et recommencais l'opération avec le deuxième puis le troisième et enfin le dernier.
Tous giclèrent sur mon visage et tous en moins de 2 minutes.
Je me lavis le visage au lavabo pendant que ces messieurs se rhabillaient. Puis je sortis des toilettes.
Je fit deux pas et me retournis.
« Il ne faut jamais me mettre au défi »
Et je repartis devant leur air ahuris.
J'avais une vie qui m'attendait en dehors de mon escapade libertine...
camion... enfin j'espèrait des
camions.....
Et puis me vint
une idée, les camions il y en a sur les autoroutes. Donc logiquement sur les
aires d'autoroute..
Justement je
n'étais pas loin de l'autoroute.
Ni une, ni deux, la voiture pris le chemin de
l’autoroute la plus proche, surtout l'aire la plus proche.
Arrivée sur le
parking je me garait entre deux camions.
Je jetât un coup
d'oeil autour de moi les chauffeurs des deux camions étaient dans leur cabine a
lire ou jouer sur leur téléphone.
Je sortis donc
de la voiture avec ma chemise à moitiés ouverte.
J'entrepris de faire le tour du parking en faisant bien attention de regarder tous ces
routiers droit dans les yeux.
Il se mit
légèrement a pleuvoir. L'eau ruisselait dans mes cheveux et ma chemise collait
a ma peau.
Tous les
routiers que je croisait avait un regard halluciné, se demandant sûrement qui
j'étais.
J'aime choquer,
j'aime agir différemment.
On me dit
souvent que je suis une extra terrestre, je réponds juste que j'assume mes
envies.
Je continuais donc de faire le tour
de tous ces camions. L'excitation grandissait
en moi comme un brasier.
Beaucoup avaient
très envies de m'aborder, je le sentais mais ils n'osaient pas.
Je fait parfois
cet effet là sur les hommes.
Trop
entreprenante ils ont peur de ne pas être à la hauteur. Sinon c'est qu'ils ont
cru que j'étais une prostituée cherchant le client.
Et en effet, un
homme m'aborda en me demandant :
« C'est combien?
»
Hummmmm l'idée
d'être prise pour une pute m'excita.
Je lui répondit
:
«
Gratuit, j'ai juste une très grosse envie de me faire baiser dans un camion par un routier . Fait moi monter et
tu auras tout ce que tu voudras »
Une bosse énorme
se forma dans son pantalon et d'un coup il me regarda comme un chasseur qui as
attrapé sa proie.
Hum mmm se
regard …..
Cette façon de
me désirer comme un objet....
Il me tendit sa
main, que je pris et me fit tourner sur moi même histoire d'évaluer la
marchandise.
Ça eut l'air de
lui plaire parce qu'il m'amena jusqu'à un grand camion blanc.
Les marches étaient haute et pour
m'aider à monter mis ses mains sur mes fesses nues . Ses doigts effleurèrent ma
chatte trempée.
Je m'installa
sur le siège passager et il fît le tour et s'installa à coté de moi.
Il me regarda et
me demanda :
« Tu viens
souvent ici ?
- Non c'est la
première fois
–
Et qu'est ce qui t’amène ?
–
Une énorme envie de me faire
baiser par un routier, les camions m'excitent.
–
Et tu as envie de quoi ?
–
Ce que tu veux c'était le deal,
non ?
–
Tu as un préservatif ?
–
Ah non désolé, j'ai rien sur
moi
–
Ah merde
–
Et je ne fait pas sans …
–
Attends
Je descendit du
camion en arrière avec les fesses bien
en l'air, un petit groupe de routier traînait un peu plus loin autour du
camion.
Je les rejoignis d'une démarche plus que suggestive. Ils me
regardaient d'un air interrogateur. En arrivant près d'eux je leur demandais :
« Vous n'auriez
pas un préservatif ? »
J'ai bien cru qu
leur machoire allait se décrocher.... Excellent
Un homme fouilla dans sa
poche et me tendit un petit carré argenté. Je m'avança près de lui, lui pris
des mains et l'embrassa sur la jour pour le remercier. Puis je me retournai et
repartit en sens inverse.
Un homme
derrière moi me cria :
« C'est combien ? »
Je me retourna
et lui dit :
« Gratuit, j’ai
juste envie de jouer avec une belle queue aujourd'hui.... »
Et je repartit
vers le camion. Remonter dans le camion avec les fesses bien en l'air, choses
ardue avec des talons, mais on s'en sors.....
Quand j’entrai
dans la cabine, le routier m'attendait braguette ouverte et bite bien raide.
Hum , il avais
une queue bien galbée et bien raide.
Impossible d'y résister
Sans aucun
commentaires je m'approcha de lui et je le pris dans ma bouche. Elle
remplissait toute ma bouche, elle était délicieuse.
J'entrepris de
le sucer bien correctement ; en commençant pas suçoter son gland tous en
l'aspirant délicatement.
Puis tout
doucement, je fis des allers retours de plus en plus profond jusqu'à avoir
engloutit sa queue toute entière.
Arrivée a la base un léger
grognement pour faire vibrer mes cordes vocales et je l'entendit gémir. Je
ressortit sa queue de ma bouche assez rapidement, j'ai appris avec l'expérience
que d'être trop appliquée et trop consciencieuse faisait monter trop vite et me
privait d'une bonne pénétration. Et ce jour là j'avais envie de me faire bien
prendre.
Je lui tendit le
petit carré argenté si durement gagné et
me retourna sur sa banquette et me mis a quatre pattes.
Position bien
inconfortable vu l'espace réduit, mais je savais, vu comment je l'avais excité,
que ça allait être très rapide.
Il entra violemment en moi de tout
son long. Dieu que c'était bon, il me remplissait entièrement. Il fit trois
quatre allers retours puissant en je l'entendis grogner et s'effondrer sur moi.
Il avait
joui......
Il se rhabilla
et se confonda en excuse d'avoir joui si vite et surtout que je n'ai moi pas
eut le temps de jouir.....
Ma réponse fût
toute simple, atteindre l'orgasme est certes fantastique, mais pas nécessaire.
La situation, le lieu, l'excitation de la nouveauté et l'audace que javait eut
ce jour là rendait ce moment
inoubliable.
Sur ces bonnes
paroles je pris congés et le remerciât de ce moment.
En descendant du
camion quelques routiers attendait, le ragards qu'ils me lancaient était
assoiffé, et j'avais encore envie.
Je les rejoignis
donc et leur demanda :
« Que puis-je
faire pour vous ? »
L'air ebahis
aucun ne pipait mot.
Par contre celui
qui m'avais si gentiment donné le préservatrif, ne se demonta pas.
« Même pas cap de tous nous sucer et de te
faire arroser »
Je ris et
répondu :
« Serieux ? Vous n'êtes que quatre.....
Je vous suis....
même pas peur »
Il me pris par
la main et m'entraina vers les toilettes. Je le suivis d'une démarche
suggestive, les trois autre colles à mon arrière train.
Ils me firent
entrer das les toilettes handicapés pour homme. Il y avait bien plus de place
que dans les toilettes normales, et ils refermèrent derrière eux.
Mr préservatif
me regarda d'un air de defi... Qu'est ce qu'il ne fallait pas faire.
Je passa ma main
droite sur son entre jambe gonflée. La bosse de son pantalon était prometteuse.
Puis j'entrepris
de lui deboutonner son pantalon et de lui retirer son caleçon.
Sa queue durcit
sortit d'un coup, bien raide et je souris de plaisir. Je tourna la tête et je
vît trois autres queues dréssées en train de se faire astiquer.
Hummm j'allais
me régaler....
Je pris Mr
préservatif direct au fond de ma gorge et je l'entendit grogner.
J'entrepris de
le sucer à fond et sauvagement pas comme le routier du camion ou je voulais
qu'il tienne.
Là je voulais qu'il crache et rapidemnt. Ca lui
apprendrai de me mettre au défi.
Je le sucai de
plus en plus vite pendant que je bramlais deux autres queues en même temps.
Il essaya de se
retenir, mais je ne li laissa aucunes chance.
Je le sucais
vite profond et d'un coup je sentis qu'il allais exploser je le ressortis donc
et il me gicla sur le visage.
A peine arrosée
je me tourna à droite et recommencais l'opération avec le deuxième puis le
troisième et enfin le dernier.
Tous giclèrent
sur mon visage et tous en moins de 2 minutes.
Je me lavis le visage au lavabo
pendant que ces messieurs se rhabillaient. Puis je sortis des toilettes.
Je fit deux pas
et me retournis.
« Il ne faut
jamais me mettre au défi »
Et je repartis
devant leur air ahuris.
J'avais une vie
qui m'attendait en dehors de mon escapade libertine...
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