Il était 6:30. Le soleil venait à peine de se lever, et le coq ne chantait pas. Tant de travail attendait, et le calme régnait. L'air était léger, peu pesant, comme dénué de son apesanteur naturelle. Ce matin-là, il ne se leva pas. Il sentit une brise caresser sa peau. Un instant, il voulu remercier Dieu, ou peut-être l'univers, pour cette matinée. Juste pour réaliser qu'il n'en possédait plus aucun. Il était seul, à présent, dans les couloirs de la mort. Qui aurait-il pût remercier?
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